fa-heropelyon.fr.gd
MENU  
  herope c'est ici
  Tordères : commune autogérée!
  Squat des Pyrénées
  NOTRE DAME DES LANDES
  STOP G8 UK 8-15 juin 2013
  MIEUX VAUT EN RIRE !!!
  CE QUE L'ANAR. REJETTE ET COMBAT
  FACHO, NEO NAZ...NATIONALISME
  LISTE DES VICTIMES CONNUES DE LA POLICE DE 2005 A 2012
  RENCONTRES LIBERTAIRES 2013 CLERMONT FERRAND
  LE MONDE LIBERTAIREe
  SALON DU LIVRE ANARCHISTE DE MONTREAL 2013
  OPERATION SPYFILES
  FEMMES...UNIVERSELLES!
  CODE D'ENTREE ET DE SEJOUR DES ETRANGERS ET DU DROIT D'ASILE
  AMNESTY INTERNATIONAL : RAPPORT 2011
  MANIFESTE A.I.F. POUR LES DROITS HUMAINS 2012
  GATERIES !!!
  CALENDRIER : luttes,evenements...
  MONDETRON, MONDE DE MERDE
  => ARMEES
  => AUTOMOBILE...!
  => CERCLES ET LIEUX DU POUVOIR!
  => Châtiments de la Charia
  => COUT DE LA VIE!
  => Clochemerle...
  => CRA
  => CULTURE !
  => DEMOCRATIE !
  => ENSEIGNEMENT ! EDUCATION !
  => LE FRIC !
  => FRAUDES...
  => HANDICAPES
  => IMMIGRATION
  => IMMIGRATION, RACISME...
  => JUSTICE...
  => LA GRANDE DEPRESSION DU 21EME SIECLE!du 21eme siecle
  => LABO, PHARMACIES...
  => LES LOYERS DES MINISTRESyers des ministères
  => LOGEMENT : LOI NOME
  => LOGO....
  => PAUVRETE!!
  => PEINE CAPITALE !
  => PERSONNES AGEES
  => PHYCHIATRIE, INTERNEMENT
  => PLANNING FAMILIAL, AVORTEMENT...
  => PRESSE!
  => PRESSION FISCALE!
  => PRISONS
  => PUBLICITE!
  => RELIGION
  => RETRAITES!
  => ROMS ! GENS DU VOYAGE ! SANS PAPIERS
  => SANTE !
  => SDF, mal loges...
  => SECURITAIRE
  => TRAFIC D'ORGANES
  => TRAVAIL !
  => AUTRES....
  PETITIONS...SOUTIENS...(en vrac)
  COLLECTIFS... COMITES...
  Collectif "soutien des roms à Hellemmes"
  LIEUX ALTERNATIFS!
  INTERNATIONAL
  ACRIMED n° 133 decembre 2012
  L'ENVOLEE : n° 31
  RESISTONS ENSEMBLE
  SQUATS, CAMPS... (en vrac)
  L O P P S I 1-2
  H A D O P I
  G8 - G 20...AUTRES... EN VRAC
  Qui sont les Blacks Blocs
  NOTRE LIVRE MONDETRON
  ARTICLES DE PRESSE, ECRITS...
  PICAYA ?
  POURQUOI L'ESPRIT DE MAI 68...
  ELLE PLEURE, ELLE PLEURE, LA PLANETE
  LES KEUFS...!
  SUR NOS TRACES...
  Y'EN A MARRE!!! occupations, greves, manif...
  SALONS ANAR FRANCAIS ET INTERNATIONAUX
  JOURNEES ALTERNATIVES ET LIBERTAIRES2011
  CIRA (centre international de recherches anarchistes)
  DES ANARS...pêle-mêle
  COURANTS ANAR...
  CONSTITUER UN GROUPE ANARCHISTE
  MOUVEMENTS, ACTIONS LIBERT., autres...
  INDESIRABLES ANARS!
  PENSEES, CITATIONS...
  EPHEMERIDE ANARCHISTE
  PIQURES DE RAPPEL...
  UN PEU D'HISTOIRE!
  UN PEU D'ECO!
  FEUILLES DE CHOU(X), REVUES...
  PAROLES DE MUSIQUES...
  PETIT DICO
  INFO : information antifaschiste sur la symbolique de l'extreme droite
  INFO : avant manif, manif, arrestation, Gav
  INFO : la France nucleaire
  INFO : guide juridique pour les manifestants mai 2011
  INFO : G. A. V.
  AUTRES I N F O -S-
  INFO : Collectifs squats, Rrom
  REFUSER LE FICHAGE ADN...
  DEMANDE D AIDE JURIDICTIONNELLE
  MUSICOSES VIDEOSES...
  HEROPE
  LES DESOBEISSANTS
  ARCHIVES 2011 : calendriers, luttes...
  ARCHIVES G8-G20...
  Contact
  CRIMINEL!
CERCLES ET LIEUX DU POUVOIR!

Monde de merde, Mondétron....

30/04/2010
Enquête sur les cercles et les lieux de pouvoir


Le Siècle, le Jockey, l'Interallié, le Travellers, le Polo... Réservés à une élite, ces cercles cultivent le goût du secret et restent inaccessibles au grand public. Pourquoi et comment y entre-t-on ? Quels sont leurs codes ? Qui sont leurs membres ?

Imaginez un dîner place de la Concorde, juste à côté de l'Hôtel de Crillon, réunissant le gratin de la politique, des affaires et des médias... Xavier Bertrand assis à côté d'un évêque, Rachida Dati entourée de Guillaume Pepy et de Louis Schweitzer, Patrick Poivre d'Arvor devisant avec Nicole Notat et Nathalie Kosciusko-Morizet, Stéphane Courbit avec Laurence Parisot... Bienvenue au Siècle, l'endroit où il faut être vu, chaque dernier mercredi du mois ! Beaucoup vendraient père et mère pour appartenir à ce club ultrafermé, sélect comme jamais, concentrant les personnalités les plus puissantes et les plus influentes de l'Hexagone, ou du moins celles qui pensent l'être !

«Ici, personne n'est candidat. On vous propose de rejoindre Le Siècle», prévient tout de suite son président, Denis Kessler (par ailleurs président du groupe Scor), histoire de décourager les velléités naissantes. Temple des élites, Le Siècle est né en août 1944, alors que Paris venait d'être libéré. L'idée ? Rassembler des responsables de toute nature et les faire dialoguer de l'avenir de la France, et plus généralement de la cité.«Il était urgent de mobiliser les élites autour d'un projet commun, mais aussi de les renouveler en repérant les talents de demain, explique Denis Kessler. Aujourd'hui encore, c'est cet esprit qui anime Le Siècle.» Si bien que l'on croise dans ces dîners de haut vol presque autant de «consacrés» que de talents émergents repérés dans les entreprises ou les cabinets ministériels.

 

Avec la crise, les élites font plus que jamais du cocooning

Et de quoi parle-t-on, dans ces brillantes réunions ? L'un des membres du Siècle, un quadra alternant les allers-retours entre le public et le privé, témoigne : «Une fois sur deux, les dîners sont très convenus : il faut être écolo, modéré politiquement, culturellement correct. Le chef de table (huit personnes) organise la conversation. Il n'y a pas longtemps, il a lancé le premier thème : la morale. On s'est rasé jusqu'au thème d'après. Souvent, la discussion dévie sur les sujets d'actualité, reprend-il. Et là, chacun essaie de briller intellectuellement. Il y a un côté combat de coqs !»

 


Qu'importe. Les élites adorent se retrouver entre elles. Qu'il s'agisse de se livrer à des joutes verbales policées comme au Siècle, à des parties de tennis endiablées (Le Tir aux Pigeons, Racing...), à des matchs de polo (Polo de Paris) ou de partager un repas chez Maxim's entre gourmets triés sur le volet (Club des Cent), tous les prétextes sont bons pour se retrouver entre soi, affirmer discrètement son appartenance à un cercle de pouvoir, voire à un milieu social aux codes solidement établis depuis des générations.

Peut-être ce désir s'est-il même accentué avec la crise, l'adversité ambiante sonnant le signe du ralliement. Même les élites font du cocooning, privilégiant le réseau, l'entraide, le réconfort d'un clan, d'une seconde famille... «Les membres se sentent chez eux dans leur cercle», confie Graziel d'Estalenx, 43 ans, l'un des membres du Nouveau Cercle de l'Union, le cercle le plus ancien, et l'un des plus élitistes de France.

 

Tout le monde est quelqu'un

 



Les cercles sont finalement bien plus sympathiques que les Facebook et autres réseaux sociaux dématérialisés et anonymes. Ici, justement, tout le monde est quelqu'un ! Et la politesse veut que, même si l'on en doute, rien ne le laisse paraître. «C'est le seul endroit où on se fait des copains d'enfance à 60 ans», a coutume de dire le banquier Bruno Roger (Lazard) à propos du Club des Cent, où se croisent l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin et Xavier Darcos (tous deux encore «stagiaires»), Robert Peugeot, Bernard Pivot, Erik Orsenna, Jean-François Cirelli, Claude Bébéar, Daniel Bouton, Jean-Louis Beffa...

Le cercle est souvent l'endroit idéal pour faire des affaires, mais sans en avoir l'air. En misant sur le relationnel. Officiellement, parler affaires est pourtant prohibé dans de nombreux cercles nés pour des messieurs plutôt inoccupés qui se passionnaient pour les courses de chevaux, le backgammon, le bridge, la chasse ou le polo... Les temps ont changé : les purs oisifs vivant de leurs seules rentes sont plutôt rares aujourd'hui ! Si bien qu'à quelques exceptions près, l'appartenance à un cercle est aussi perçue comme un moyen d'étendre de façon très efficace son réseau professionnel. Ces lieux de pouvoir et d'influence offrent une telle concentration de patrons, d'avocats en vue et de politiciens vedettes qu'il faudrait être bien naïf pour penser qu'ils ne discutent entre eux que de leur maison de campagne, des études de leurs enfants ou de leur sport favori !

 

Faire patienter des candidats toute une vie

 


Avec les beaux jours, la terrasse du Cercle de l'Union Interalliée a un succès fou. Une adresse prestigieuse, 33 rue du Faubourg- Saint-Honoré, juste à côté de l'Elysée. Cravate de rigueur pour les hommes, tenue chic et lunettes sombres pour les dames aux premiers rayons de soleil. Il y a deux ans, c'est là que la très puissante Anne Méaux avait organisé les 20 ans d'Image 7, sa société de communication (une bonne moitié des patrons du CAC 40 figurent parmi ses clients). L'Interallié ? Un écrin idéal pour afficher l'un des plus beaux carnets d'adresses de tout-Paris ! Mais n'y entre pas qui veut. «Il arrive que l'on fasse patienter des candidats toute une vie», lâche François Zanon, directeur général.

 

 


«Si l'on vient chez nous, c'est avant tout parce que l'on s'intéresse à l'automobile, se défend le marquis Hugues du Rouret, président de l'Automobile Club de France, place de la Concorde. Un lieu magique fréquenté autrefois par les pionniers de l'automobile (Panhard, Levassor, Peugeot, Renault, Citroën...) et qui reste encore aujourd'hui fortement imprégné par cette culture : l'Auto abrite la FIA (Fédération internationale automobile) et organise de prestigieuses conférences sur le secteur automobile. «Je m'y rends trois ou quatre fois par semaine. Il m'arrive même d'y aller juste pour avaler une tranche de jambon-salade au bord de la piscine», confie Gérard Féau. Propriétaire d'une Morgan, le PDG du groupe Féau Immobilier dirige l'ASA (Association sportive automobile), qui rassemble 300 membres sur les 2 000 que compte l'Automobile Club. Une petite élite de fans qui se retrouve pour un déjeuner place de la Concorde tous les jeudis («On est une cinquantaine à chaque fois») et organise rallyes et voyages tout au long de l'année.

En revanche, rares sont les membres de l'Automobile Club fréquentant le camping 4 étoiles des Naïades, dans le Var : situé dans le golfe de Saint-Tropez, cet établissement pour mobil-homes (500 places), installé sur un terrain de 30 hectares acheté après guerre par l'Automobile Club, est un peu la poule aux oeufs d'or de ce dernier ! Rien à voir, question ambiance, avec les clubs chics du bois de Boulogne ! Là encore, c'est ici que certaines familles ont leurs habitudes le week-end, au bord de la piscine du Polo, du Racing Club ou du Tir aux Pigeons... «Le Tir a un succès dingue, raconte Gonzague, 36 ans. Il faut quasiment faire campagne pour y entrer. C'est l'endroit idéal quand on a des enfants et qu'on ne veut pas partir tous les week-ends à la campagne.» Gonzague en est convaincu : c'est ici, sur la pelouse du Tir, qu'il a fait ses premiers pas. Et c'est aussi ici qu'il compte une bonne partie de ses amis d'enfance. Il y croise aussi quelques personnalités médiatiques, raquette sur l'épaule et mine détendue, comme Guillaume Sarkozy ou Sébastien Bazin, le patron de Colony Capital en France. «C'est bien le seul endroit où l'on peut décrocher avec naturel un “Comment allez vous cher ami ?” à un haut commis de l'Etat sortant de sa douche», s'amuse Gonzague, qui ne retire cependant aucune fierté de son appartenance à ce club d'élite. «Quand on fait partie d'un monde, cela paraît tellement naturel», lance-t-il. Les membres du Jockey Club ne le contrediront pas.

 

Pedigree : la noblesse

 

Le duc de Brissac entouré de
jeunes membres du Jockey Club.
Le duc de Brissac entouré de jeunes membres du Jockey Club. 

«Le Jockey, c'est une grande famille. Ici, la règle est de ne jamais se présenter entre membres. Tout le monde est supposé se connaître», explique le président de cette vénérable institution, le duc de Brissac, qui confie toutefois, avec un clin d'oeil, recourir parfois à la mémoire «infaillible» du maître d'hôtel ! Rares sont les heureux élus (1 200 membres) autorisés à franchir, le pas assuré et le sourire entendu, la lourde porte en chêne du 2, rue Rabelais, l'une des adresses les plus secrètes de France. De tous les cercles parisiens, le Jockey Club, créé en 1834 par la Société d'encouragement pour l'amélioration des races de chevaux, est l'un des plus sélects. Sans doute parce qu'il ne suffit pas, pour y entrer, d'avoir réussi dans les affaires ou d'occuper le devant de la scène médiatique. Ici, seuls le pedigree généalogique (les deux tiers des membres appartiennent à la noblesse française) et la réputation comptent. Mais il faut aussi être coopté par ses pairs, au terme d'un vote qui laisse peu de chances aux cas limites : un vote négatif annule cinq votes positifs ! «Mieux vaut présenter sa candidature quand on est encore jeune : on a alors moins de chances de compter des ennemis !», remarque un membre.


Cliquez sur l'aperçu pour agrandir l'infographie.

Les jeunes, justement, se pressent à l'entrée, appréciant de pouvoir croiser un Henri de Castries venu en voisin (le président d'Axa a ses bureaux à deux pas), discutant en toute camaraderie avec le baron Albert Frère ou Edouard de Rothschild ! «Une cinquantaine de nos membres ont moins de 35 ans, précise le duc de Brissac. Ils nous apportent beaucoup. Ils sont vraiment charmants, bien élevés, très détendus. Et pas du tout coincés !» En entrant au Jockey, ils savent aussi qu'ils auront accès à de nombreux cercles équivalents à l'étranger, comme le Knickerbocker Club à New York, ou le Turf Club et le Boodle's à Londres. Sans parler de la possibilité de piquer une tête quand bon leur semble dans la piscine de l'Automobile Club, et de déjeuner l'été dans les jardins de l'Interallié.

 

La Païva

 

 

L'ancien hôtel particulier de
la Païva.
L'ancien hôtel particulier de la Païva.

Jockey Club, Nouveau Cercle de l'Union, Travellers, Interallié, Automobile Club de France... À Paris, les vrais cercles à l'anglaise se comptent sur les doigts de la main. Leurs membres, essentiellement masculins, se toisent et se moquent réciproquement, mais souvent en toute amitié, à la manière des étudiants d'Oxford et de Cambridge ! L'Interallié serait un brin

 


«parvenu», l'Auto «nouveau riche», le Jockey «poussiéreux», le Travellers trop «business»... Par raillerie, les membres de ce cercle, qui a pignon sur les Champs-Elysées, sont parfois surnommés les «travailleurs». Pourtant, si l'on peut croiser un Gérard Augustin-Normand accoudé au bar, un Charles Beigbeder grimpant l'escalier d'onyx jaune, un Patrick Ricard devisant au salon, les dossiers restent au vestiaire, et le portable aussi, histoire de ne pas troubler l'ambiance «friendly» qui règne dans l'ancien hôtel particulier de la marquise de Païva, dite la Païva, au 25 de l'avenue des Champs-Elysées. Une pure merveille classée aux MH (Monuments historiques) de la cave au grenier et qui, malgré une restauration récemment entreprise, est totalement restée dans son jus. Au prestige du lieu vient s'ajouter un charme certain. L'ombre de la Païva est partout, jusque dans la salle à manger installée dans sa chambre où l'on imagine son lit entouré des deux coffres dans lesquels sommeillaient jadis, dit-on, son or et ses bijoux. Ce serait la Païva qui aurait servi de modèle à la sculpture en marbre de Carrare représentant Amphitrite chevauchant un dauphin. En gravissant pour la première fois les marches de l'escalier, les nouveaux membres sont autorisés à lui caresser la hanche (d'où une subtile usure) tandis que les joueurs invétérés avouent une préférence pour son sein. Il paraît qu'il porte chance. Mais chut... en dehors des membres du Travellers, personne ne doit le savoir!

Source le Figaro
MONDETRON !!!  
  Just Foreign Policy - Morts irakiens dus a l'invasion U.S.  
A N T I F A  
 
 
Le poète Armand Robin (1912-1961)  
  définit "l'anarchiste" comme celui qui est "purifié volontairement, par une révolution intérieure, de toute pensée et de tout comportement pouvant d'une façon quelconque impliquer domination sur d'autres consciences Celui qui défile joyeusement au pas cadencé a déjà gagné mon mépris. C'est par erreur qu'on lui a donné un cerveau puisqu'une moelle épiniére lui suffirait amplement. Einstein. °