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Reporter sans frontières, pour la liberté de la presse

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http://fr.rsf.org/press-freedom-index-2010,1034.html


 

Indymedia Grenoble : des journalistes portent plainte pour diffamation et
la justice s’emballe.


Grenoble, le 7 avril 2010

 Une plainte pour injures et diffamation contre Indymedia Grenoble


Il y a plus d’un an, Indymedia Grenoble apprend qu’une plainte pour « injure et diffamation », concernant des articles publiés sur le site, a  été déposée à l’automne 2008. Une plainte pour délit de presse donc. Etcette plainte, le Parquet a décidé de l’instruire en mettant d’impressionnants moyens de police pour enquêter sur l’identité des animateur-ice-s du site. Objectif : trouver le « directeur de publication » du site pour qu’il endosse la responsabilité du contenu publié sur Indymedia Grenoble et qu’il puisse ainsi en répondre devant la justice. Un gendarme spécialisé dans « la recherche à personne » a tenté de contacter le collectif à ce sujet. Il a reçu une réponse polie lui indiquant que, malheureusement pour son enquête, il n’y avait pas de directeur de publication à Indymedia. Ce que ce gendarme aurait dû savoir s’il avait pris le temps de lire la charte du collectif.  Il n’est d’ailleurs pas inutile de rappeler qu’Indymedia est un médiaalternatif qui fonctionne sur le principe de la publication ouverte. Il permet ainsi à toutes et tous d’être acteur-rices de l’information : il n’y a, à Indymedia Grenoble, ni journaliste ni directeur de publication. Tout le monde peut publier, tout le monde peut réagir à un article et contacter le collectif, notamment pour prétexter du caractère diffamatoire d’un article. Dans le cas présent, personne ne s’est manifesté. Ni l’auteur (ou les auteurs) de la plainte, ni le gendarme n’ont voulu nous dire de quels articles il s’agissait. Les échanges de mails se sont arrêtés là...et les emmerdements ont commencé.

En décembre 2009, l’association Antigone (café-bibliothèque-librairie) a été le théâtre d’une spectaculaire opération de gendarmerie liée à cette affaire de diffamation. Des perquisitions ont eu lieu au local d’Antigone ainsi qu’au domicile des personnes membres du bureau de l’association. Un coup pour rien ! Les gendarmes sont repartis bredouilles. Ou presque. Ils ont quand même appris une chose. Les membres d’Antigone utilisent, comme tant d’autres personnes, le site Indymedia Grenoble. Mais Antigone n’est pas la première victime collatérale de cet acharnement contre Indymedia. Depuis le début de l’enquête, plusieurs personnes et plusieurs structures ont été ennuyées. Une personne ayant été par le passé impliquée dans le projet Indymedia Grenoble a été auditionnée. Des pressions ont été exercées sur un lieu que le collectif a fréquenté et qui a lui aussi été
perquisitionné. Enfin, une coupure suspecte du serveur d’Indymedia a révélé que la machine qui héberge le site avait été visitée.  Mais qui veut la peau d’Indymedia Grenoble ?

Des journalistes...  La plainte à l’origine de cette enquête émanerait de deux journalistes du canard local en situation de monopole dans la région, et connu de tous sous le doux nom de « Daubé ». Denis Masliah et Vanessa Laime n’auraient pas apprécié que l’on fasse mention de leurs noms et de leurs glorieux états de service dans deux articles publiés sur le site et datés de mai 2008. Que ces journalistes qui servent au quotidien la soupe aux puissants et suppléent aux tâches de communication de la police jalousent l’indépendance d’un média comme Indymedia, on le comprend bien. Qu’illes soient allergiques à la critique, on peut l’entendre. Mais qu’illesaillent jusqu’à porter plainte contre l’auteur d’un texte bien senti et  contre un media non aligné relève d’un degré de mesquinerie rarement égalé. ...mais pas que !

Autant de personnes auditionnées, autant de lieux perquisitionnés, autant d’énergie déployée, autant de personnel mobilisé, autant de temps et d’argent public dépensés... pour quoi ? Pour laver l’honneur de deux journalistes et apaiser leur susceptibilité ?! Ce n’est pas sérieux ! On a
en effet de bonnes raisons de craindre qu’il ne s’agisse là que d’un prétexte. Un prétexte pour faire taire la critique ! Un prétexte pour nuire à l’un des espaces où s’exprime la contestation, à l’échelle locale (notamment contre la technopole et l’urbanisme mégalo de la municipalité : stade des Alpes, Minatec, rocade nord, Giant, etc.).  Dans un contexte de répression et de criminalisation croissantes de certaines pratiques et opinions politiques, il n’est pas étonnant qu’on veuille s’en prendre à un média de lutte et à un espace de parole indépendant des pouvoirs. La liberté d’expression et de critique dont tant se gaussent n’est tolérée que quand elle ne conteste pas trop les pouvoirs en place et ne remet pas en question l’ordre établi. Dans les faits, cette liberté est réduite à peau de chagrin. Ce n’est pas la première fois, en France, qu’un site Indymedia connaît des ennuis judiciaires. -A Paris, plusieurs procès pour diffamation ont été intentées à la personne considérée par la justice comme "responsable" du site Indymedia. Plusieurs condamnations ont été prononcées à son encontre. ` -En 2005, à Lille, une plainte pour diffamation contre Indymedia Lille est déposée par le ministre de l’intérieur lui-même pour défendre l’honneur de sa police impliquée dans les rafles de sans-papiers. Le procès contre un ancien membre du collectif aboutit heureusement à une relaxe  -En juin prochain, à Paris se tiendra un procès intenté par Bouygues aux administrateurs techniques de sites internet - dont Indymedia Paris – pour "provocation à la commission d’actes de destruction"

Au delà de ces affaires, la répression se déploie et frappe tous azimuts. Lorsque des témoins d’une bavure policière sont poursuivis pour diffamation par le ministre de l’intérieur, pour avoir osé dire ce qu’ils ont vu à des journalistes, comme c’est arrivé cet été à Bagnolet ; lorsque que même des journalistes de médias mainstream sont mis en examen ou traités comme des criminels, comme c’est arrivé à de Filipis, ex directeur de publication de Libération... plus rien ne devrait nous étonner

D’autre part, nous savons que nos gouvernements et les majors du divertissement ne supportent plus la liberté et l’horizontalité qui existent encore sur Internet. C’est la raison pour laquelle on voit se multiplier les lois qui en restreignent l’usage et encadre sa surveillance (loi LCEN, loi DADVSI, LOPPSI 2, HADOPI, et tant d’autres).  Autant d’ardeur à la tâche ne suffira pas à bâillonner nos voix discordantes et nos pratiques subversives. 


 31 octobre 2009

Maroc : Khalid Gueddar condamné à 3 ans de prison avec sursis

Notre collaborateur et ami Khalid Gueddar a été condamné au Maroc à 3 ans de prison avec sursis et 270 000 euros d’amende. Idem pour le journaliste Taoufik Bouachrine. Leur crime ? Un dessin représentant le prince Moulay Ismaïl.
Dessiner un membre de la famille royale marocaine coûte très cher au Maroc. Notre ami et collaborateur Khalid Gueddar avait récemment publié dans le quotidien Akhbar al Youm un dessin représentant un cousin du roi, le prince Moulay Ismaïl, sur fond d’emblème national. Résultat : Khalid devra payer 3 millions de dirhams de dommages et intérêts à son altesse (environ 270 000 euros) solidairement avec le directeur du journal Taoufik Bouachrine. Les deux hommes sont également condamnés à trois ans de prison avec sursis.
Voici la triste issue du procès pour « manquement au respect dû à la famille royale » qui s’est tenu hier soir à Casablanca. Si Khalid et Taoufik évitent la prison ferme, il n’en reste pas moins que leur peine est lourde. Trop lourde pour un dessin.
D’autant plus qu’un peu plus tôt dans la soirée, ils ont tous deux été condamnés à un an de prison avec sursis et à 100.000 dirhams d’amende (environ 9.000 euros) pour « outrage au drapeau ». Toujours pour le même dessin.
La cour a en outre décidé la "fermeture définitive" des locaux du journal. Il ne s’agit toutefois pas de l’interdiction du journal à proprement parler, a précisé Taoufik Bouachrine à l’AFP.
Les deux hommes ont d’ores et déjà annoncé qu’ils faisaient appel de l’ensemble de leurs condamnations. Bakchich continue bien sûr de les soutenir.


AFP  06/10/2009
L'Europe débat de la liberté de la presse
 Plus de 100.000 manifestants se sont rassemblés samedi à Rome à l'appel de la Fédération de la presse et de la gauche italienne pour "défendre la liberté de la presse" et fustiger l'empire médiatique de Silvio Berlusconi.Silvio Berlusconi a qualifié la manifestation de samedi de "farce absolue".
Le Parlement européen est depuis aujourd'hui le théâtre de manoeuvres de la droite conservatrice pour tenter d'empêcher un débat prévu jeudi en plénière à Bruxelles sur la liberté de la presse en Italie, jugé très embarrassant pour Silvio Berlusconi.
Le président du groupe du parti Populaire européen (PPE) Joseph Daul veut l'annulation de ce débat, réclamé par les libéraux européens, "car il n'a pas lieu d'être au Parlement européen", a souligné mardi son porte-parole Antoine Ripol.
Le PPE, famille politique de Silvio Berlusconi, va tenter d'obtenir ce retrait lors d'un vote mercredi et cherche à mobiliser tous ses élus et leurs alliés.


AFP  03/10/2009
Des journalistes censurés au Puntland

Les autorités du Puntland ont interdit de travail les trois journalistes de la radio Voice of America en poste dans cette région autonome autoproclamée de Somalie, a dénoncé aujourd'hui le Comité pour la protection des journalistes (CPJ).
Les autorités du Puntland ont suspendu de façon définitive les permis de travail des journalistes Nuh Muse, Mohamed Yasin et Abdulkadir Mohamed, en leur reprochant de fournir une couverture "négative" du Puntland et de susciter l'instabilité dans la région, selon le CPJ, une organisation de défense de la presse installée à New York.
Toutes les radios du Puntland bénéficiant d'accords avec VOA, une radio publique américaine à destination de l'étranger, se sont également vu interdire de retransmettre les émissions de cette radio à compter de vendredi.
Les mesures d'interdiction auraient été suscitées par la diffusion par VOA d'une interview d'un religieux, Sheikh Sayid Khalif, qui aurait ouvert récemment une représentation au Puntland du mouvement soufi Ahlu Sunna Wal-Jama’a, selon le chef du bureau de VOA pour la Somalie, Abdirahman Yabarow, installé à Washington.
"Cette suspension constitue une violation de la Constitution du Puntland ainsi qu'une attaque grave contre la liberté de la presse dans la région", a dénoncé Tom Rhodes, coordinateur des activités du CPJ en Afrique.

Chavez fait fermer 34 médias d'opposition

03/08/2009

A l'annonce de cette décision, des centaines de personnes se sont immédiatement massées aux sièges des stations en signe de protestation, à Caracas.

Caracas invoque des raisons administratives à ces fermetures effectives depuis samedi. Mais les défenseurs de la liberté d'expression y voient, comme en 2007, une nouvelle censure. Quelque 200 autres stations sont menacées.

Trente-deux radios et deux télévisions régionales vénézuéliennes ont diffusé leur dernière émission samedi matin. Sur ordre du gouvernement du président Hugo Chavez, toutes ces antennes ont reçu une note de la Commission nationale des télécommunications (Conatel) vendredi soir, les informant que leur concession leur était retirée. Conatel a également mis en garde 200 autres stations contre une éventuelle suppression de cette concession.

Des raisons administratives sont invoquées par le pouvoir vénézuélien. Officiellement, les 34 médias visés n'auraient pas effectué les démarches nécessaires pour le renouvellement de leur concession. Le directeur de Conatel, Diosdado Cabello, a affirmé que leurs fréquences seraient redistribuées à des personnes qui attendent depuis longtemps de pouvoir émettre. Depuis son arrivée au pouvoir, Hugo Chavez multiplie ce type de mesures antilibérales visant à contrôler les médias privés, en créant notamment de nouvelles antennes placées sous la houlette de l'Etat ou d'associations.

La chaîne de télévision privée Globovision, qui figure parmi les 200 stations menacées, pourrait être parmi les prochaines visées par ces mesures. Lundi, le siège de l'antenne a été pris d'assaut par une trentaine de sympathisants armés, du parti UPV allié de Hugo Chavez, qui ont jeté deux grenades lacrymogènes à l'intérieur des locaux. «Nous tenons le président pour responsable de ce qui s'est passé», a affirmé le directeur de la chaîne, Alberto Federico, dénonçant une attaque menée «en plein jour» par «un groupe de ses partisans».

«Non à la censure»

Les défenseurs de la liberté d'expression voient une censure, derrière ces suspensions et ces pressions. «Nous assistons au plus important dispositif de restrictions à la liberté d'expression jamais mis en place au Venezuela, sans précédent en période de démocratie», a déclaré Carlos Correa, directeur de l'organisation non-gouvernementale de défense de la liberté d'expression, Espacio Público. Parmi les stations suspendues, le réseau CNB, qui comprend cinq radios d'information, se montrait critique à l'égard du président vénézuélien.

Des centaines de personnes se sont immédiatement massées aux sièges des stations en signe de protestation. A Caracas, devant celui du CNB, les pancartes proclamaient «Non à la censure», «Peuple, ouvre les yeux, c'est une dictature». Pour eux, cette décision a un air de déjà vu. En 2007, la chaîne privée RCTV avait disparu des canaux hertziens sur ordre du gouvernement qui lui reprochait son ton acerbe à l'égard du pouvoir.

Délit médiatique Ces fermetures soudaines interviennent alors qu'un projet de loi, présenté jeudi devant l'assemblée nationale, prévoit jusqu'à quatre ans d'emprisonnement pour les auteurs de «délits médiatiques». Les auteurs du projet de loi prévoient de sanctionner la divulgation d'une information jugée «fausse», «manipulée» ou «déformée». Sont également visés les médias qui diffusent des informations susceptibles de porter un «préjudice aux intérêts de l'Etat» ou constituent une atteinte à la «morale publique» et la «santé mentale».



19-01-2009

 

 

Le Bureau de l’Union des clubs de la presse de France et francophones (UCPF) a appris avec indignation la mesure de licenciement prise par la direction d’Antilles TV en Martinique à l’encontre de son rédacteur en chef Karl Sivatte.


Ce licenciement que rien ne justifie hormis le « fait du prince », illustre malheureusement ce que l’UCPF dénonce depuis plusieurs années. A savoir la mainmise de groupes industriels – avec parfois des connivences politiques - sur les médias, en imposant des hommes à eux afin d’entraver l’indépendance de ces médias et la liberté d’informer de leurs journalistes. 
Ces dérives suscitent actuellement de nombreuses réactions et mobilisations de la part des organisations représentatives des journalistes
Le licenciement abusif dont est victime Karl Sivatte nous conforte dans notre détermination à continuer à lutter, aux côté de nos confrères, pour défendre l’indépendance de l’information aujourd’hui gravement menacée en France par les pouvoirs financiers et politiques.
Le Bureau de l’UCPF assure Karl Sivatte, qui au sein de cette organisation depuis des années, et en tant que président depuis janvier 2008, s’est toujours attaché à la défense des valeurs et règles de notre profession, de sa solidarité et son soutien pour que ces règles soient respectées

 

 

 

 

 

 

MONDETRON !!!  
  Just Foreign Policy - Morts irakiens dus a l'invasion U.S.  
A N T I F A  
 
 
Le poète Armand Robin (1912-1961)  
  définit "l'anarchiste" comme celui qui est "purifié volontairement, par une révolution intérieure, de toute pensée et de tout comportement pouvant d'une façon quelconque impliquer domination sur d'autres consciences Celui qui défile joyeusement au pas cadencé a déjà gagné mon mépris. C'est par erreur qu'on lui a donné un cerveau puisqu'une moelle épiniére lui suffirait amplement. Einstein. °