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Sanofi : un millier de salariés défilent contre le plan social

  03.10.2012

Un millier de salariés de Sanofi, venus de toute la France, doivent manifester à Paris mercredi après-midi, alors qu'un comité de groupe France, prévu toute la journée à Gentilly (Val-de-Marne), pourrait présenter les grandes lignes de la réorganisation de l'entreprise pharmaceutique.

Un millier de salariés de Sanofi, venus de toute la France, doivent manifester à Paris mercredi après-midi, alors qu'un comité de groupe France, prévu toute la journée à Gentilly (Val-de-Marne), pourrait présenter les grandes lignes de la réorganisation de l'entreprise pharmaceutique. 

Chez Sanofi, les suppressions de postes ne passent toujours pas, alors que le groupe a dégagé un bénéfice de 5,7 milliards d'euros l'an dernier. Venus de toute la France, environ un millier de salariés du laboratoire pharmaceutique manifestent à Paris depuis 13h45, sous la pluie. Rassemblés devant le siège du groupe rue de la Boétie (VIIIe) ils se dirigent vers l'Assemblée nationale.

Arrivés dès le matin, ils ont joué une pièce de théâtre, exécuté un «haka» de la recherche et fait exploser des pétards. Sur de nombreuses banderoles, ils  avaient barré le nom de Sanofi pour le remplacer par "Sanofric".

914 suppressions de postes, selon la direction

Ces salariés en colère défilent alors que les syndicats ont claqué la porte du comité de groupe France qui se tient à Gentilly (Val-de-Marne) dans la matinée, où étaient présentées les grandes lignes de la réorganisation de l'entreprise. «Nous avons demandé le retrait pur et simple du plan», a affirmé au nom de l'intersyndicale, le représentant CFDT Pascal Delmas, selon lequel les responsables de la direction ont indiqué «ne pas avoir le mandat pour retirer le plan».

Cette manifestation est la plus importante depuis le début des protestations, déclenchées par l'annonce du projet de restructuration par la direction, le 5 juillet. Les syndicats redoutaient alors la suppression de 1250 à 2500 postes au sein du groupe. Ca devrait être moins. Un document de travail confidentiel émanant de la direction, dont l'AFP a eu connaissance mardi, évoque le chiffre de 914 réductions de postes possibles d'ici à 2015.

Centre hospitalier Des piquets de grève à Belfort et Montbéliard

le 19/06/2012

Mise en place hier après-midi de chapiteaux à l’entrée des sites du centre hospitalier de Belfort-Montbéliard et piquets de grève symboliques. Photo Patricia Louis

Mise en place hier après-midi de chapiteaux à l’entrée des sites du centre hospitalier de Belfort-Montbéliard et piquets de grève symboliques. Photo Patricia LouisLa grève des personnels soignants se poursuit au Centre hospitalier, avec la mise en place de piquets depuis hier après-midi, à l’entrée des sites urbains de Belfort et de Montbéliard.
Il faut remonter aux grandes grèves des infirmières au cours des années 1980, pour assister à une telle montée en puissance d’un mouvement social.
Au Centre hospitalier de Belfort-Montbéliard (CHBM), il s’agit d’une première. Lancée jeudi dernier par l’ensemble des organisations syndicales (CGT, CFDT, FO, CNI, CASAP), la grève se poursuit sans discontinuer pour « dénoncer les baisses d’effectif et la dégradation des conditions de travail ».
L’intersyndicale, qui avait volé en éclat, il y a quelques années, s’est reconstituée pour faire bloc et tenter de faire reculer une direction, qui maintient son cap (Le Pays du 16 juin 2012). Revenir à l’équilibre d’ici à 2014, alors que le déficit était de 5 millions d’euros l’an passé en recourant pour l’essentiel à des baisses des effectifs.
Cette logique comptable, les organisations syndicales ne veulent plus en entendre parler, considérant que les efforts demandés au personnel soignant n’ont cessé d’augmenter au cours des années passées.
Invitation au dialogue avec la population
C’est pour expliquer cette situation de tension extrême que toutes organisations syndicales confondues ont monté hier devant les sites de Belfort et de Montbéliard, des chapiteaux aux entrées principales du Centre hospitalier. Ces points de ralliement sont depuis hier après-midi occupés en permanence par des grévistes qui se relaieront jour et nuit, tout en faisant circuler des pétitions auprès de l’ensemble des personnels du CHBM et en distribuant des tracts aux usagers du Centre hospitalier. C’est dans une atmosphère de détermination totale que le mouvement a pris cette nouvelle forme. Les personnels soignants en grève invitent tous les citoyens de l’Aire urbaine à aller à leur rencontre et à débattre des difficultés supportées par les uns comme les autres.
Responsable de la Coordination nationale des infirmières (CNI), Nathalie Depoire fait observer : « Depuis que nous avons claqué la porte jeudi dernier, la direction ne s’est pas manifestée en vue de rétablir le dialogue ». Les « piquets de grève » comptent aussi favoriser les rencontres conviviales si la météo le permet au cours des jours à venir (pique-nique revendicatif, barbecue etc.). Ce ne sont pas les idées et les bonnes volontés qui manquent au CHBM.


Des manifestations pour défendre l'hôpital public

02/04/2011 

Entre 2000 et 5000 personnes étaient réunies à Paris.

Plusieurs milliers de personnes ont participé samedi à des rassemblements contre la politique de santé du gouvernement.

L'appel à manifester avait été lancé pour défendre les hôpitaux et les maternités de proximité. Les rassemblements, organisés samedi dans plusieurs villes de France à l'appel d'un large mouvement d'associations d'usagers, de syndicats et de partis politiques, ont été l'occasion de s'opposer plus largement à l'ensemble de la politique de santé du gouvernement.

A Paris, entre 2000 (selon la police) et 5000 personnes (selon les organisateurs) réunies place de la Bastille ont ainsi dénoncé les difficultés d'accès aux soins liées à la désertification médicale en milieu rural et dans les banlieues, ou encore à la pratique des dépassements d'honoraires par les médecins libéraux. Des élus sont venus apporter leur soutien, comme le président socialiste de la région Ile-de-France, Jean-Paul Huchon.

A Lyon, un peu plus de 500 personnes ont défilé dans le centre-ville. Environ 400 personnes environ ont fait de même à Bordeaux, précédées par des handicapés en fauteuil. Ils étaient environ 300 à Toulouse et 450 à Niort. À La Seyne-sur-Mer, dans le Var, un millier de personnes a formé un H (pour hôpital), pour défendre la maternité de la commune, menacée de fermeture. Des rassemblements ont aussi été organisés à Nancy, Rennes ou encore Lille.


 

Six cents personnes mobilisées pour Mondor

Blouses blanches, élus et usagers ont défilé dans les rues de Créteil, hier , pour manifester contre la fermeture annoncée du service de chirurgie cardiaque de l’hôpital.

 23.02.2011

CRéTEIL, HIER. Lors de la manifestation, les hospitaliers de Mondor ont été rejoints par de nombreux confrères. Une délégation a déposé la pétition et ses 11600 signatures à la préfecture.
La mobilisation ne faiblit pas. En pleines vacances scolaires, 600 personnes environ ont battu le pavé hier à Créteil pour défendre le centre hospitalier Henri-Mondor. L’établissement de renom est menacé par la fermeture de son service de chirurgie cardiaque, programmée dans le cadre de la réorganisation de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), à la demande de l’agence régionale de santé (ARS).
Il y a une dizaine de jours déjà, un premier rassemblement devant l’hôpital avait réuni entre trois cents et cinq cents personnes.

« On ne laissera pas notre hôpital se faire attaquer de cette manière »
Pour l’heure, tous les courriers ou demandes d’entretien auprès des autorités sanitaires sont restés sans réponse. « Ils se renvoient tous la balle »
Mais pour tous les syndicats et hospitaliers, Mondor est aujourd’hui le « symbole » de la bagarre à mener pour maintenir un service public de santé au sens large.

Dans le cortège, les hospitaliers de Mondor ont été rejoints par de nombreux confrères de Chenevier à Créteil et Emile-Roux à Limeil, également menacés, mais aussi du Centre hospitalier intercommunal de Créteil, ou des hôpitaux de la région parisienne de Cochin, Béclère, Lariboisière, Trousseau, Saint-Antoine… D’anciennes blouses blanches s’étaient aussi mobilisées. « Il faut conserver cet hôpital qui fait de belles choses », martèle cette ancienne cadre. Les usagers aussi étaient encore plus nombreux. « Si Mondor ferme, il faudra aller jusqu’à Paris, calcule Daniel, 73 ans, un ancien patient. Pour ceux qui viennent de Seine-et-Marne, ça fait loin. Et tout le monde ne peut pas aller dans le privé. »

Ils réclament un rendez-vous avec le ministre de la Santé

Une délégation a remis au représentant de l’Etat les 11600 signatures récoltées par la pétition et demandé qu’il intervienne pour obtenir un rendez-vous avec le ministre de la Santé. Sans réponse de sa part, les défenseurs de Mondor ont d’ores et déjà prévu de s’inviter devant ses fenêtres le 10 mars.


Infirmiers anesthésistes: nouvelle grève ce mardi à Paris

 08.06.10
Des infirmiers et infirmières participent à un rassemblement, le
11 mars 2010, à Bordeaux.


SANTE - C'est la quatrième manifestation en trois mois...

Leur dernier mouvement de grève, le 18 mai dernier, avait semé la panique à la gare Montparnasse. A l'appel de la CGT, CFDT et Sud, les infirmiers anesthésistes étaient de retour dans les rues de Paris ce mardi. Dès 11h, ils étaient sur la place Charles de Gaulle avant de se rendre jusqu'au ministère de la Santé, afin de maintenir la pression pour obtenir la reconnaissance de leur formation et une revalorisation salariale.

La manifestation de ce mardi 8 juin a rassemblé environ 1.500 personnes selon la police et 5.000 selon la CGT. Alors que le ton montait dans la rue où la police a procédé à des tirs de gaz lacrymogène et à quatre interpellations, une délégation de manifestants a été reçue au ministère.

«Aucune de nos revendications n'a été entendue et nous appelons à la reconduction du mouvement et à cesser les actes dans les blocs opératoires», a déclaré à l'AFP Sylvie Breuil, de l'UFMICT-CGT. Roselyne Bachelot doit à nouveau recevoir les syndicats le 14 juin.


100.000 voyageurs touchés par le blocage des infirmiers

19/05/2010
Quelque 500 manifestants ont bloqué la circulation des trains
plusieurs heures mardi après-midi en s'installant sur les rails de la
gare de Montparnasse à Paris.
Quelque 500 manifestants ont bloqué la circulation des trains plusieurs heures mardi après-midi en s'installant sur les rails de la gare de Montparnasse à Paris. Crédits photo : AFP

 

La gare Montparnasse à Paris a été complètement paralysée mardi durant plusieurs heures par des centaines d'infirmiers anesthésistes en grève venus de toute la France, qui ont occupé les voies pour demander une reconnaissance de leur spécialité au niveau master.

Les quelque centaines de manifestants qui bloquaient la circulation des trains ont libéré les rails en fin de journée. La plupart d'entre eux ont quitté les voies à la demande des organisateurs, mais une petite centaine a refusé de bouger, provoquant l'intervention des gendarmes mobiles qui ont évacués ces personnes une par une. Les manifestants se sont ensuite rendus en début de soirée sous les fenêtres de la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, avant de se disperser vers 20h30.

Les manifestants, au nombre de 3.000 selon les syndicats, avaient fait irruption dans la gare vers 13h, sortant de l'itinéraire prévu pour leur manifestation après avoir appris qu'ils ne seraient pas reçus par le cabinet de Roselyne Bachelot.

 Des dizaines de TGV annulés

Au total, plus de 60 TGV et plus d'une centaine de TER et transiliens transportant plus de 100.000 voyageurs ont été affectés, estime la SNCF. Certains trains au départ de Montparnasse ont été annulés. Ceux qui arrivaient de province se sont arrêtés en gare de Massy TGV, les voyageurs devant emprunter le RER C pour finir d'arriver à Paris. Le trafic n'a repris que progressivement en début de soirée, avec plus d'une heure et demi de retard sur les lignes de banlieue (transilien) et sans garantie de départ dans la soirée pour les voyageurs du TGV Atlantique

 La SNCF a décidé de porter plainte pour entrave à la circulation des trains

Les infirmiers anesthésistes ont commencé depuis plusieurs semaines un mouvement de protestation pour dénoncer la non-reconnaissance de leur spécialité par le protocole Bachelot et la possibilité pour des infirmiers n'ayant pas suivi leurs deux années de formation de pratiquer des actes d'anesthésie. Les 7.500 infirmiers anesthésistes en France, qui assistent notamment les médecins anesthésistes dans les blocs opératoires, suivent cinq années d'études : trois ans de formation initiale pour le diplôme d'Etat puis après deux années d'exercice du métier, deux nouvelles années de formation.



Un mouvement de grève des kinés du Rhône aujourd’hui
16 février 2009

 Ce mouvement pourrait entrainer des perturbations dans plusieurs établissements lyonnais et de l’agglomération.
Comme de nombreux collègues en France, ils veulent apporter leur soutien à une vingtaine de kinés salariés de Haute-Garonne qui sont convoqués aujourd’hui devant la justice. Ils sont poursuivis par le Conseil de l’ordre d’exercice illégal car ils pratiquent sans être inscrits au tableau de l’ordre. Les syndicats des kinés demandent une dispense d’inscription. Dans notre département, les représentants seront reçus à la Ddass de Lyon à 16h.


Mobilisation à l’hôpital du Vinatier (Lyon Bron)
03/02/2009

Les 4 syndicats appellent à un rassemblement cet après-midi entre 14h30 et 15h30 devant l’établissement psychiatrique.
Les motifs de cette manifestation sont nombreux. La CGT, la CFDT, FO et l’Unsa souhaitent discuter de l’après-grève de jeudi dernier. Mais ils entendent aussi collecter de l’argent pour se rendre à Paris et protester contre la loi Bachelot.

La grève « suspendue » aux urgences de l’hôpital Edouard-Herriot (Lyon)
03/02/2009

Après huit semaines de mobilisation, les personnels paramédicaux ont stoppé leur action suite aux engagements pris par la direction.
Ils ont notamment obtenu deux postes de brancardiers supplémentaires, le remplacement des congés maternités et l’affectation d’infirmier et d’aide-soignant d’autres services. Selon les représentants du personnel, le mouvement est suspendu pour trois mois le temps pour eux de voir si les promesses sont tenues et si les mesures sont efficaces.

Fin de la grève à la clinique du Tonkin (Lyon Villeurbanne)
22/01/2009

 90% des personnels paramédicaux étaient en grève aujourd’hui.
Ils protestaient contre la suppression en 2009 d’un quart des effectifs et contre le retrait d’une prime qui représente 8% de leurs revenus. Mais lors d’une réunion, direction et représentants du personnel ont fini par tomber d’accord, ce qui met un terme à ce mouvement débuté ce matin. L’ensemble des activités de la clinique du Tonkin reprendra en totalité dès ce soir 19h.


Les années se suivent et se ressemblent du côté de l’hôpital Émile-Roux au Puy-en-Velay (43)
19/01/09

 

Déjà, en 2006, les syndicats CGT et FO s’étaient réunis en intersyndicale pour tirer la sonnette d’alarme quant à la situation financière délicate de l’hôpital. Les aides ponctuelles attribuées alors n’étant pas reconduites, la situation revient à l’identique. Le « rebasage budgétaire » réclamé par les syndicats n’est toujours pas à l’ordre du jour.
« En 2009, nous démarrons de nouveau avec une insuffisance budgétaire très importante », tonne Huguette Julien, responsable syndicale.
L’intervention du président de la République Nicolas Sarkozy, la semaine dernière, arguant que « l’hôpital n’avait pas besoin de moyens supplémentaire mais de se réorganiser », a fait bondir les syndicalistes ponots. « Nous n’avons pas attendu le président de la République pour nous organiser avec les moyens du bord, moyens qui restent, par ailleurs, très insuffisants. C’est pourquoi, nous avons besoin de créations de postes et non de suppressions ».
Sur l’établissement ponot, Huguette Julien estime que 50 à 80 postes équivalents temps plein seraient nécessaires.
Au cœur des revendications, hier lors de la conférence de presse, le contrat de retour à l’équilibre budgétaire qui prévoit la suppression de 112 postes équivalents temps plein sur quatre ans. Dans le détail, c’est trente postes (équivalent temps plein) d’agents des services hospitaliers en moins, quarante-quatre postes (équivalent temps plein) de non-remplacement des départs en retraite, vingt-quatre postes d’agents contractuels toutes catégories non reconduits et quatorze suppressions de poste de remplacement pour absentéisme.
« On ne donne pas aux hôpitaux publics les moyens de fonctionner. C’est une menace pour l’hôpital de proximité et pour l’accès aux soins de la population ».
Conséquence inhérente à ces suppressions de postes, le risque que des spécialités soient mises en danger et donc plus proposées au Puy-en-Velay. « L’hôpital du Puy est d’ailleurs celui qui est touché par la plus forte suppression d’emplois de la Région ».
Autre sujet qui agace l’intersyndicale : la suppression des bonifications d’échelon, « une perte de pouvoir d’achat pour la totalité des agents sur l’ensemble de leur carrière. C’est inadmissible vu le travail et les responsabilités qu’endossent ces personnes ». C’est pourquoi, hier, l’intersyndicale avait appelé à un « premier jour de grève et d’action », prévenant que « ce n’est qu’un début ».
L’intersyndicale demande donc aux personnels hospitaliers « de se rassembler, ‘amplifier la mobilisation et de participer massivement à la journée de grève interprofessionnelle du jeudi 29 janvier ».



MONDETRON !!!  
  Just Foreign Policy - Morts irakiens dus a l'invasion U.S.  
A N T I F A  
 
 
Le poète Armand Robin (1912-1961)  
  définit "l'anarchiste" comme celui qui est "purifié volontairement, par une révolution intérieure, de toute pensée et de tout comportement pouvant d'une façon quelconque impliquer domination sur d'autres consciences Celui qui défile joyeusement au pas cadencé a déjà gagné mon mépris. C'est par erreur qu'on lui a donné un cerveau puisqu'une moelle épiniére lui suffirait amplement. Einstein. °