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EGYPTE

Egypte : plaidoyer des Frères contre l'égalité des femmes

Manifestation au Caire contre les Frères musulmans le 8 mars dernier, lors de la journée des droits des femmes.
Manifestation au Caire contre les Frères musulmans le 8 mars dernier, lors de la journée des droits des femmes.

La confrérie dont est issu le président égyptien dresse une liste des droits des femmes auxquels elle est farouchement opposée.

Accorder trop de droits aux femmes et en faire les égales des hommes conduirait à «la destruction totale de la société» égyptienne. C'est ce que déclarent sans équivoque les Frères musulmans, dont est issu le président Mohamed Morsi. Dans un communiqué publié cette semaine sur son site internet officiel, Ikhwanweb, la confrérie s'oppose en effet à un texte devant être adopté ce vendredi à l'ONU à l'issue de deux semaines de discussions «contre la violence faite aux femmes».

Dans leur réponse, les Frères musulmans estiment que le document onusien est «trompeur», qu'il «inclut des articles qui contredisent les principes établis de l'Islam, réduisent à néant la moralité islamique et détruisent la famille, base de la société». Pour eux, ce texte serait même «la dernière étape de l'invasion intellectuelle et culturelle des pays musulmans».

Nécessité «de demander l'accord du mari pour voyager»

Pour justifier ses propos, la confrérie expose dix arguments. Elle s'oppose par exemple à l'«octroi aux filles d'une liberté sexuelle totale», à «l'égalité totale dans la législation du mariage», à «la fourniture de contraceptifs aux adolescentes», à «l'annulation de la nécessité de demander l'accord du mari pour voyager, travailler ou utiliser des moyens de contraception», à «la protection et au respect aux prostituées» . Les Frères dénoncent également le fait d'«accorder à l'épouse le plein droit de poursuivre en justice son mari pour viol ou harcèlement sexuel» ou encore le fait de «retirer au mari l'autorité du divorce pour la placer dans les mains de juges».

Depuis leur arrivée au pouvoir, après la chute du régime de Hosni Moubarak en 2011, les Frères musulmans se montraient, sinon rassurant, du moins évasifs sur la question des droits de la femme. Morsi, lui-même, se présente comme un modéré. Mais avec ce communiqué, la confrérie expose pour la première fois de manière explicite ce que doit être, selon elle, la place de l'Egyptienne dans la société.

Le gouvernement prend ses distances

Dans une interview réalisée jeudi et révélée par le quotidien américain The New York Times, Pakinam El-Sharkawy, conseillère politique du président Morsi, prend ses distances vis-à-vis de la déclaration des Frères, qui, selon elle, ne parlent pas au nom du président.«Ce n'est pas l'institution de la présidence, et ce n'est pas une entité officielle», assure-t-elle. Les Frères musulmans ont en effet une vitrine politique, le parti de la Liberté et de la Justice (PLJ, au pouvoir), que dirige Morsi. Le régime fait tout pour «mettre fin à toute forme de violence à l'égard des femmes», ajoute Pakinam El-Sharkawy.

 
Egypte : quinze morts en deux jours

  20.11.2011   

Durant l'après-midi, la police anti-émeutes a tiré régulièrement des gaz lacrymogènes pour contenir la foule près du ministère de l'Intérieur, à proximité de la place, reproduisant des scènes rappelant, avec une moindre ampleur, la révolte anti-régime du début de l'année.

Durant l'après-midi, la police anti-émeutes a tiré régulièrement des gaz lacrymogènes pour contenir la foule près du ministère de l'Intérieur, à proximité de la place, reproduisant des scènes rappelant, avec une moindre ampleur, la révolte anti-régime du début de l'année. 

La place Tahrir, au Caire (Egypte), prend de tristes airs de déjà vu. Quinze personnes ont péri lors de violents affrontements avec la police, à une semaine du premier scrutin législatif depuis le départ d'Hosni Moubarak. Des heurts se sont produits toute la journée et durant la nuit aux abords de cette place, après la mort de deux manifestants, au Caire et à Alexandrie. De nombreux civils manifestent contre les militaires qui détiennent toujours le pouvoir neuf mois après la chute du régime.

 

Ils réclament également des sanctions rapides à l'encontre des responsables de la terrible répression du printemps dernier.

Egypte : nouveau rassemblement place Tahrir malgré les violences

  19.11.2011

Des affrontements ont eu lieu samedi place Tahrir au Caire entre la police et des manifestants après la dispersion par les forces de l'ordre d'un sit-in mené par des blessés de la révolte du début d'année.

Des affrontements ont eu lieu samedi place Tahrir au Caire entre la police et des manifestants après la dispersion par les forces de l'ordre d'un sit-in mené par des blessés de la révolte du début d'année. 

Plusieurs centaines d'Egyptiens occupent toujours dimanche matin la place Tahrir au Caire, tandis que des heurts sporadiques opposent la police à des manifestants aux abords du ministère de l'Intérieur situé à proximité de l'emblématique place, a constaté une journaliste de l'AFP. La police anti-émeutes tire régulièrement des gaz lacrymogènes tandis que des dizaines de protestataires dressent des barricades aux abords du bâtiment ministériel.


Samedi, au moins deux personnes ont été tuées, l'une au Caire, l'autre à Alexandrie, et plusieurs centaines d'autres ont été blessées au cours de violents affrontements entre manifestants et forces de police. Ces affrontements ont commencé place Tahrir, au Caire, après la dispersion par les forces de l'ordre d'un sit-in mené par des blessés de la révolte du début d'année. Ils se sont intensifiés dans l'après-midi avec des charges de la police anti-émeute, qui a fait usage de gaz lacrymogènes, tandis que des dizaines de manifestants répliquaient en lançant des projectiles.

La police s'est ensuite retirée dans les rues bordant l'emblématique place du Caire, alors que les manifestants scandaient des slogans réclamant la chute du maréchal Tantaoui, qui dirige le Conseil suprême des forces armées (CSFA), dépositaire du pouvoir depuis la chute du président Hosni Moubarak le 11 février. En début de soirée, le calme semblait revenu sur la place Tahrir, où des milliers d'Egyptiens étaient rassemblés, mais les tirs de gaz lacrymogènes ont repris, tandis que les manifestants répliquaient en lançant des pierres.


2 morts et 676 blessés

L'homme tué au Caire, identifié comme Ahmed Mahmoud, 23 ans, a reçu une balle dans la poitrine, a précisé un médecin sur la célèbre place Tahrir, foyer de la révolte qui a renversé le président Hosni Moubarak le 11 février dernier. Les affrontements ont en outre fait 676 blessés, a déclaré Mohamed Cherbini, porte-parole officiel du ministère de la Santé, cité par l'agence officielle Mena. Le ministère de l'Intérieur a de son côté affirmé que 40 policiers figuraient parmi les blessés.

Des médecins ont par ailleurs indiqué avoir prodigué des soins à plusieurs personnes touchées aux yeux par des tirs de balles en caoutchouc, précisant que certaines avaient été transportées dans des hôpitaux. Des internautes ont également rapporté sur Twitter que plusieurs militants avaient perdu l'usage d'un oeil et des vidéos diffusées sur YouTube ont montré des gens avec le visage ensanglanté ayant des blessures à l'oeil.

Dans la nuit, on apprenait qu'un homme avait également été tué à Alexnadrie dans un autre rassemblement hostile au pouvoir.


Un sit-in pour juger les policiers auteurs de violences au printemps

Le sit-in par qui tout a commencé, qui durait depuis plusieurs jours, réclamait que soient rapidement jugés les policiers et les dirigeants responsables des violences qui ont fait, selon des sources officielles, environ 850 morts et des milliers de blessés pendant les 18 jours de révolte.L'ex-président Moubarak, son ministre de l'Intérieur et des responsables de la sécurité sont actuellement jugés pour avoir ordonné aux forces de l'ordre d'ouvrir le feu sur les protestataires. Vendredi, les participants au sit-in avaient été rejoints par quelques-uns des dizaines de milliers de manifestants, en majorité islamistes, exigeant que l'armée transfère rapidement le pouvoir à un gouvernement civil.

De retour place Tahrir, les Égyptiens défient l'armée 

  

Une foule immense s'est massée hier sur la place Tahrir, au centre du Caire.

Une foule immense s'est massée hier sur la place Tahrir, au centre du Caire. 

 

Des centaines de milliers de personnes ont manifesté vendredi. 

«Ed wahda», «une seule main». Repris par des centaines de milliers de voix, le grand slogan de la révolution égyptienne a de nouveau résonné, vendredi, au-dessus de la place Tahrir. Mais s'il était précédé, à l'époque du soulèvement contre Hosni Moubarak, des inséparables «l'armée et le peuple», c'est désormais la junte militaire au pouvoir qui fait l'unanimité contre elle. «Le peuple veut la chute du régime !», ont crié les manifestants en réclamant le départ du Conseil suprême des forces armées (CSFA). Cible de leurs récriminations, le chef de ce concile occulte, le mouchir (maréchal) Mohammed Tantawi, ancien ministre de la Défense de Moubarak, est accusé d'avoir trahi la révolution en refusant l'adoption de réformes démocratiques et en retardant la restitution du pouvoir aux civils.

 


L’armée face à la détermination des manifestants
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25.07.11 

Des centaines de manifestants ont encore occupé, hier, la place Tahrir, au centre du Caire, au lendemain d’une manifestation contre les autorités militaires qui s’est terminée par de violents affrontements faisant plus de 200 blessés.


Egypte : Un jour sur la place Tahrir

15.07.2011
EGYPTE.
 Cela fait cinq jours que les manifestants ont investi à nouveau la place Tahrir pour demander la démission du maréchal Tantaoui qui dirige le pays. Seront-ils délogés par la police ? Jeudi 14 juillet au matin, les manifestants étaient toujours sur la place.


24.03.2011

Des incidents ont éclaté jeudi entre des partisans du président déchu Hosni Moubarak et des opposants qui demandent que le nom de l'ex-président soit retiré des institutions publiques. Deux cents fidèles de Moubarak ont lancé des pierres en direction de trois cents opposants réunis devant un tribunal du Caire.

03.03.2011

Un calendrier électoral en Égypte

Une réforme constitutionnelle sera soumise à référendum le 19 mars en Égypte, en prélude à des élections législatives en juin et à une présidentielle six semaines plus tard, annonçait-on mardi au sein de l'armée, au pouvoir depuis la chute du président Hosni Moubarak le 11 février dernier

25.02.2011

Nouvelles manifestations sur la place Tahrir du Caire 

Des milliers d'Égyptiens se sont rassemblés dans une ambiance festive vendredi sur la place Tahrir deux semaines jour pour jour après la fuite de Hosni Moubarak. Ils s'étaient réunis pour célébrer la révolution et en signe de solidarité avec la Libye. Mais également pour réclamer un nouveau gouvernement. Le premier ministre Ahmed Chafiq et ses ministres sont accusés par les manifestants d'être «inféodés au régime corrompu». Ils veulent qu'il soit remplacé par un gouvernement de «technocrates».

13 février 2011

L'armée disperse les occupants de la place Tahrir - 13 février

Égypte : L'armée veut libérer la place de la Libération

 Place Tahrir, plusieurs milliers de manifestants exigent toujours la démission du gouvernement et la dissolution du parlement. En face, l'armée cherche prioritairement à ramener l'ordre. 

 Au Caire, toute la place Tahrir est évacuée. Toute ? Non, plusieurs milliers de manifestants résistent encore à la pression de l'armée. Sur ce rond-point, épicentre du soulèvement populaire déclenché le 25 janvier contre le régime d'Hosni Moubarak, un petit campement de protestataires refusait encore dimanche de quitter les lieux.

 Autour de ce bivouac contestataire, la place de la Libération a repris son animation pré-révolutionnaire. Après la démission de Moubarak vendredi, la circulation y a repris ses droits, accompagnée d'opérations de nettoyage et de démontage des tentes.

 Mais alors que les militaires tentaient dimanche matin de disperser les derniers manifestants, des milliers sont revenus en force place Tahrir. Ils sont venus soutenir ceux qui refusent toujours de partir avant que l'armée ne tiennent «ses promesses», à savoir la mise en œuvre d'un processus d'élections libres, la levée de l'état d'urgence, la libération de la presse. En somme la garantie de  protéger les «acquis» de la Révolution.

Dimanche, le gouvernement a indiqué par la voix de son porte-parole qu'il resterait en place jusqu'à la fin de la période de transition. Un nouveau gouvernement sera alors nommé «sur la base de principes démocratiques». Le calendrier de cette période de transition, entre les mains du Conseil suprême des forces armées (le véritable organe du pouvoir désormais) et de son chef Mohamed Hussein Tantaoui, reste toutefois à déterminer.

 

 Egypte: Moubarak reste mais délègue des pouvoirs, ElBaradei estime que le pays «va exploser»

Créé le 10.02.11   Les principaux éléments à retenir:

> Hosni Moubarak a démissionné et transféré ses pouvoirs au Conseil supérieur des forces armées égyptiennes.
> L'ex-raïs a quitté Le Caire pour Charm-el-Chaikh.
> Les manifestants de tout le pays - place Tahrir au Caire, à Alexandrie ou encore à Suez - exultent.
> L'armée égyptienne a fait savoir qu'elle souhaitait la réforme de la Constitution, garantissait la tenue d'«élections libres» (sans en préciser la date), et la levée de l'état d'urgence en fonction de l'évolution de la situation.
> L'armée souhaite un «retour à la normale» et met en garde contre «toute atteinte à la sécurité».

1er mai 2008
 
MONDETRON !!!  
  Just Foreign Policy - Morts irakiens dus a l'invasion U.S.  
A N T I F A  
 
 
Le poète Armand Robin (1912-1961)  
  définit "l'anarchiste" comme celui qui est "purifié volontairement, par une révolution intérieure, de toute pensée et de tout comportement pouvant d'une façon quelconque impliquer domination sur d'autres consciences Celui qui défile joyeusement au pas cadencé a déjà gagné mon mépris. C'est par erreur qu'on lui a donné un cerveau puisqu'une moelle épiniére lui suffirait amplement. Einstein. °