Marche européenne 2012 des sans-papiers
Faisant suite à la réunion qui s'est tenue à Paris le jeudi 15 mars dernier en présence des représentants des collectifs de Suisse (Lionel Roche,représentant) et d'Italie (Aboubakar Soumahoro, représentant), il a été convenu, concernant le trajet de la marche, de répartir un certain nombres de jours à chaque pays concerné.
Il est laissé à l'appréciation de chaque collectif d'organiser le trajet, déterminer les étapes de marche et les transports si les distances sont trop longues (au-delà de 30 km) Et donc, de même, les actions (fêtes/conférences/spectacles...) peuvent être organisées localement,
dans chaque pays, par les collectifs, selon
-
le territoire,
-
les soutiens sur place,
-
le calendrier,
(prévoir à cet effet des jours sans marche (de repos) pour faire de cette
marche un grand événement dans les différentes villes où elle passera.
Départ : Bruxelles (Belgique) (le 02 juin 2012)
Arrivée : Strasbourg (du 02 au 5 juillet 2012)
Trajet envisagé :
Bruxelles – Maastricht – Luxembourg – Schengen – France (Verdun-Florange)
– Allemagne – Suisse – Italie – France (Strasbourg).
Le trajet respecte les demandes de chaque collectif et passe par
les villes des différentes directions des instances européennes et
les lieux symboliques liés à l'histoire des travailleurs étrangers
(Verdun – Florange pour la France)
Soit :
Belgique – Pays-Bas - Luxembourg
(à partir de Bruxelles) – Maastricht – Luxembourg : 6 JOURS
du 02 au 08 juin 2012
(proposition : 4 étapes de marche et 2 jours off)
France (Lorraine) via Verdun et Florange – vers l'Allemagne : 6 JOURS
du 08 juin au 14 juin 2012
(proposition : 4 étapes de marche et 2 jours off)
Allemagne : 6 JOURS
du 14 juin au 20 juin 2012
(proposition : 4 étapes de marche et 2 jours off)
Suisse : 5 JOURS
du 20 juin au 25 juin 2012
(laissé à l'appréciation du collectif)
Italie : 5 JOURS
du 25 juin au 30 juin 2012
(laissé à l'appréciation du collectif)
France : Strasbourg : à partir du 1er juillet jusqu'au 5 juillet 2012
(selon les rencontres possibles avec les instances européennes)
camp no border stockholm - juin 2012
*Appel à participation*
Ce texte est également disponible en néerlandais, espagnol, arabe,
portugais, slovaque, suédois.
Nous vous invitons au camp transnational No Border de Stockholm qui se
tiendra à l’été 2012 : une semaine de désobéissance civile, de
discussions, de projections de films et d’actions directes contre la
politique migratoire européenne.
Ces 15 dernières années, les camps No Border ont surgi dans diverses
régions frontalières et zones de conflit à travers le monde. Véritables
zones autonomes, ces camps ont accueilli le mouvement international pour
l’abolition de tous les États nations de la planète. Ce mouvement
s’inscrit dans une optique plus générale visant à promouvoir un monde
débarrassé de toutes les formes d’oppression se fondant sur la notion de
pays d’origine. Il s’agit d’interroger et de lutter contre un monde qui,
dès la naissance, catégorise les personnes selon des critères de
nationalité, de genre, de classe, de race. Des divisions se créent :
entre ceux qui sont au-dessus de la loi et ceux qui ne le sont pas ;
entre ceux qui sont dépositaires de l’autorité et ceux qui doivent s’y
soumettre ; entre ce qu’il faut faire, et ce qui est interdit.
L’exclusion qui découle de ces catégorisations ne se limite pas à de
simples territoires géographiques mais se retrouve au sein même d’un
pays, au cœur d’une ville, entre les personnes qui la subissent.
La préservation de l’ordre social capitaliste et
autoritaire s’accompagne des conséquences suivantes :
Le maintien de gardes frontières Frontex à l’est et au sud de
l’Europe, avec un budget militaire avoisinant bientôt les 150
millions d’euros.
*
L’arrestation de sans papiers en collaboration avec les contrôleurs
dans les transports en commun.
*
L’emprisonnement de réfugiés dans des « centres de détention » pour
une durée indéterminée et pour des raisons inconnues, en attendant
leur déportation forcée, ou ce qui dans certains cas revient à une
forme de meurtre.
*
Le maintien d’installations radars par l’agence de développement de
l’UE dans le désert libyen afin de « gérer les flux migratoires ».
*
L’exploitation des immigrés par les restaurants et les boîtes de
nuit qui profitent des situations instables et désespérées
auxquelles sont confrontés ces travailleurs, ce qui ne fait que nous
diviser encore plus.
*
L’impossibilité de faire partie de ce « nous » que désigne la
citoyenneté sans se renier soi-même au préalable, sans se fondre
dans le moule, sans devenir une page vierge au service du capital.
Ce sont ces frontières, ces structures profondément ancrées qui génèrent
un racisme systématique, qui sont détaillées dans le « Programme de
Stockholm ». Ce plan quinquennal de l’UE vise à regrouper les questions
de sécurité nationale et internationale et les questions d’immigration
dans les régions à problème : d’après l’UE, la liberté de circulation
des populations est une menace pour la sécurité des Etats. Le Programme
de Stockholm – tout comme les frontières dont il est question dedans –
n’est pas rattaché à un lieu unique. Son ombre nous recouvre tous et
fait surgir des barrières dans notre quotidien, entre ceux qui sont
influents et privilégiés et ceux qui n’ont même pas le droit d’exister.
L’été prochain, le Programme de Stockholm aura deux ans. C’est pourquoi
nous nous proposons de débusquer et d’attaquer les lieux et structures
qui sont les incarnations physiques de ce programme pour l’hégémonie
totale des normes blanches. Cela concerne aussi bien les institutions
publiques que les entreprises qui bénéficient d’une manière ou d’une
autre des déportations ou de la construction et de la gestion des
centres de détention. Cela s’applique à toutes les personnes qui n’ont
rien à se reprocher car elles ne font « que leur travail ».
Nous organisons ce camp parce que nous croyons en un avenir différent et
désirons un monde qui valorise le respect mutuel, l’amour et l’entraide.
Nous voulons nous réunir et mettre en commun notre créativité pour faire
l’expérience de ces nouveaux rapports. Nous voulons diriger notre colère
contre ces mesures qui nous oppriment. Nous voulons un monde dans lequel
la compassion et la responsabilité ne se limitent pas au seul niveau
local mais s’expriment au niveau global. C’est pourquoi nous invitons
toute organisation, groupe, ou individu à participer et à contribuer à
ce camp, sous quelque forme que ce soit.
Les dernières années ont démontré que la solidarité internationale et la
lutte contre l’oppression n’étaient pas prêtes de disparaître. *Fermez
la porte, nous passerons par la fenêtre*.
http://www.noborderstockholm.org/fr/
Les gouvernements algérien et marocain ont financé le FSM Dakar 2011
- Où va le Forum social mondial ?
13 février 2011 par Mimoun RAHMANI - Attac
Les gouvernements algérien et marocain ont financé en partie le Forum social mondial (FSM) Dakar 2011. Voila une information passée sous silence le 12 février 2011 à la réunion du conseil international du FSM. La rumeur avait circulé lors du séminaire des mouvements sociaux organisé à Dakar les 5, 6 et 7 novembre 2010, le comité d’organisation sénégalais vient de confirmer !
Cela justifie en fait la présence massive au FSM de cette fameuse délégation marocaine officielle composée essentiellement de flics et d’individus représentant des associations fantômes et d’OVG (organisations véritablement gouvernementales) pris en charge par le gouvernement qui a mis à leur disposition tous les moyens logistiques pour défendre « l’unité territoriale du pays ». Et voilà encore pourquoi cette même délégation officielle a eu des stands partout à l’enceinte de l’université Chekh Anta Diop (UCAD) ayant abrité le FSM. Le gouvernement sénégalais est certainement complice et le comité d’organisation assume une part de responsabilité. Des participants ont critiqué la délégation marocaine dans son ensemble sans faire de nuance ce qui a porté atteinte même à l’image des organisations sociales et mouvements sociaux marocains et, au-delà, à l’image de la dynamique du Forum social marocain.
Le Forum social mondial, qui était jusqu’ici un espace ouvert aux organisations sociales est en passe de devenir un terrain de règlement de comptes entre entités politiques, et on craint qu’il soit récupéré par les gouvernements. Certains membres du conseil international du FSM ont critiqué le fait de donner la parole à la séance d’ouverture à Evo Morales président de la Bolivie, plutôt progressiste, mais ils n’ont rien dit sur le financement du forum par des gouvernements libéraux et anti-démocratiques ni sur le fait que Abdoulay Wade président du Sénégal soit remercié en trois langues à la séance de clôture du Forum.
Deux aspects positifs ont tout de même marqué cette 11ème édition du FSM (la 2ème en Afrique). D’un coté, l’organisation des caravanes qui ont convergées vers Dakar en provenance essentiellement de l’Afrique de l’ouest mais aussi de l’Afrique du Nord, et qui ont permis de sensibiliser et mobiliser assez largement en organisant plusieurs activités en route. Le comité d’organisation n’a pourtant pas soutenu toutes les caravanes mais quelques unes d’entre elles seulement, et n’a prévu ni leur accueil ni leur hébergement. Du coup, les caravaniers ont logé au camp des jeunes dans des conditions déplorables voire inhumaines. De l’autre coté, l’espace du Forum a été ouvert ce qui a permis une large participation en comparaison avec le FSM de Nairobi en 2007 où l’espace était fermé et militarisé. Toutefois, et malgré le chiffre annoncé de 70000 participants, l’implication des mouvements et organisations sénégalaises et surtout l’impact sur la population locale restent relativisés.
Par ailleurs, le Forum a connu une désorganisation totale. On n’a à aucun moment senti quelque chose d’organisationnel. Un véritable cauchemar ! Aucune indication, aucun signal, aucune répartition claire des salles (ou tentes), et le plus souvent pas d’interprétation malgré le retour au FSM des Babels ayant mobilisé et formé près de 120 interprètes. Il faut dire que les conditions n’étaient pas de leur coté. La présence des dizaines de jeunes volontaires n’a pas pour autant réglé les problèmes puisque ces pauvres bénévoles n’ont aucune information à fournir.
La marchandisation a également marqué ce Forum, pratiquement tous les marchants de la ville sont venus présenter leurs produits et leurs bazars ! On dirait une foire internationale. Une petite bouteille d’eau qui coute dans les magasins 250 FCFA a été vendue à 500 FCFA et le plat de repas au restaurant de l’UCAD II est vendu à 5000 FCFA (plus de 7,5 euros).
Il est toutefois à signaler que derrière ces problèmes il y avait un acte politique dont la source et le but restent inconnus. La nomination d’un nouveau recteur de l’université à un mois du FSM et sa volonté de remettre en cause la décision prise il y a plusieurs mois de mettre à la disposition du comité d’organisation les locaux de l’université. Ce qui fait que les négociations ont pris du temps au détriment de la préparation et de l’organisation. Finalement le comité n’a obtenu qu’entre 50 à 60% des locaux prévus.
Deux moments forts de ce FSM de Dakar ; d’abord la manifestation d’ouverture a été assez importante avec la participation de 60000 personnes selon les médias, du jamais vu au Sénégal. La marche a connue la participation très active des organisations sociales sénégalaises et des mouvements de banlieues de Dakar, elle a été animée par le groupe musical Hip Hop des banlieues sur le cortège du Réseau international CADTM. Ensuite, la tenue d’une assemblée des mouvements sociaux très populaire et massive. L’AMS a été un grand succès et a pu réunir pas moins de 2000 personnes et sortir une déclaration solide, avec deux dates à retenir : le 20 mars journée globale d’action de solidarité et de soutien du processus révolutionnaire en cours dans le monde arabe, et le 12 octobre comme journée d’action globale contre le capitalisme. Journée qui coïncide avec plusieurs événements : la résistance des peuples indigènes, célébration de la terre mère, commémoration de la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb (12 octobre 1492) qui symbolise la naissance du capitalisme mondialisé, et en fin le 12 octobre s’inscrit dans le cadre de la semaine globale d’action contre la dette et les institutions financières internationales.
Les révolutions des peuples tunisiens et égyptiens contre les dictateurs ont été au centre de ce FSM. Pour la première fois un acte d’action concrète est organisé lors du FSM (au-delà de la marche traditionnelle habituelle) puisqu’un sit-in de solidarité avec le peuple égyptien a été organisé devant l’ambassade d’Egypte à Dakar le 11 février 2011 à 13h. Trois heures après l’annonce est tombée : le grand dictateur Hosni Mubarak a finalement décidé de dégager après 18 jours de résistance du peuple égyptien.
Ces deux révolutions, tunisienne et égyptienne, ont montré qu’un « autre monde possible » est entrain de se concrétiser mais que cela passe par d’autres canaux que celui du Forum social mondial.
Mimoun Rahmani
ATTAC / CADTM Maroc
20/12/2010
Sources Dissent
Appel à perturber le "Forum social mondial" de Dakar en février 2011
Voici un appel lancé depuis Bamako, à aller perturber le «Forum social mondial» qui doit se tenir à Dakar en 2011. Malgré ses défauts, je crois qu’on peut dire que jamais, depuis qu’existent de tels «forums», une telle conscience critique n’avait encore surgi des profondeurs du «tiers-monde», pour venir ainsi contester publiquement, au nom même des immenses espoirs qu’il a pu susciter, le plus récent spectacle de la contestation mondialisée. Quoi qu’il en soit, si les «réseaux» subventionnés des bons Pères blancs qui font «leur business sur le dos des peuples opprimés» croyaient pouvoir cette fois parader et pérorer bien à l’abri de toute manifestation «autonome» et radicale, c’est raté, et il n’est pas besoin d’être grand clerc pour en déduire que l’étouffer dans l’œuf va faire désormais partie des préoccupations principales des organisateurs. Mais auront-ils les moyens d’acheter tous les contestataires du Sénégal ?
Le FSM 2011 ou la grande exhibition des réseaux
— Le FSM (Forum social mondial), vaste mouvement des peuples pour la justice sociale a été une initiative à la fois rénovatrice, historique et dynamique. Cependant, le FSM n’est pas un fait de hasard. Il est la suite logique des luttes des peuples contre toutes les formes de domination impérialiste et capitaliste. Le FSM au départ a permis la naissance, et le renforcement tant aux niveaux nationaux qu’au niveau international, des mouvements, et organisations de lutte pour la défense des droits humains, et pour un monde alternatif au système capitaliste. Il a suscité de l’espoir dans de nombreux pays, et pour des milliers des personnes.
— Grâce aux efforts, au courage, et la clairvoyance des peuples en lutte contre la domination impérialiste, la mondialisation des luttes, n’a été qu’une réponse ferme à la mondialisation néolibérale et capitaliste. C’est en réponse à la «mondialisation capitaliste» en rapport avec les bourgeoisies nationales parasitaires ; que les «peuples épris de justice» ont décidé en toute autonomie de créer un espace de lutte de tous les peuples pour poursuivre la lutte anti- capitaliste, pour la justice sociale, la paix dans le monde, le partage égal et démocratique des richesses, la liberté d’expression, l’accès aux droits fondamentaux de l’homme, la libre circulation ; contre l’injustice sociale, la guerre dans le monde, les inégalités sociales, la répression de la liberté d’expression, la suppression des libertés de circulation et de mouvement… ; que le système capitaliste, néolibéral et impérialiste impose au monde entier, tout en détruisant l’environnement.
Commencez à vous organiser localement, diffusez cet appel et venez échanger vos idées : La prochaine rencontre internationale aura lieu les 4, 5 et 6 février à Paris.
AGENDA DE LA RÉUNION NOG8-G20 4,5,6 FEVRIER 2011, PARIS
La réunion aura lieu à cette adresse : 9 rue du Château d’Eau, 75010 Paris.
Du vendredi 4 fevrier 18h au dimanche 6 février après midi.
Une cuisine fonctionnera sur place pendant toute la durée.
Apporter matelas et sacs de couchage.
Accueil : Le lieu sera ouvert à partir de 18h. Les personnes arrivant plus tôt peuvent prendre contact
L’objectif de la réunion est d’avancer sur les questions pratiques liées à la mobilisation en cours. L’accent est mis sur le temps en Groupes de « Travail » donc en petits groupes, plutôt que sur du temps en plénière. Nous recommandons à tou-te-s les participant-e-s de formuler à l’avance les problématiques qui leur semblent nécéssaires d’aborder en Groupes de « Travail ». Le compte rendu de la réunion sera constitué essentiellement des synthèses de chaque Groupe de « Travail ».
Vendredi 4 – 19h30 : Assemblée plénière
ODJ :
· Bilan rapide du début de mobilisation. Pouvons nous partir du texte « Deauville nous ne boirons pas de ton eau » comme base d’identité politique commune ?
· Lister les questions devant être actées collectivement (plénière du dimanche matin).
· Présentation des Groupes de « Travail » – Constitution des Groupes de « Travail »prioritaires pour le week end. Plusieurs pistes ont été proposées : medical team, legal team, actions, communication, village long… Si le besoin d’un approfondissement politique se fait sentir il peut se faire dans le cadre d’un Groupe spécifique.
Samedi 5 – 9h30 : Réunion rapide (pas une plénière)
ODJ :
· Présenter les différents Groupes de « Travail » aux nouve-lles-aux arrivant-e-s. Insister pour que chacun-e s’inscrive dans le ou les groupes de leur choix pour que toutes les fonctions nécessaires à construire la mobilisation puissent commencer à s’activer à partir de ce weekend.
· Régler les points techniques : se répartir entre les différents Groupes de « Travail » prioritaires, proposer une rotation naturelle dans chaque groupe des roles de facilitateur-trices, traducteur-trices, prise de notes. Il est proposé que les personnes puissent aller d’un atelier à un autre mais sans systématisme et en prenant en compte qu’il ne faut pas que cela ralentisse ou gêne le travail collectif. Décider si il est nécéssaire que des personnes « référentes ou ressources » (type world café) restent attachées à un groupe et puissent synthétiser les échanges en vue d’une restitution.
Samedi 5 – 10h30 : temps en petits groupes.
Samedi 5 – après midi : temps en petits groupes. Rédaction d’une synthèse.
Samedi 5 – 19h30 : synthèse des « ateliers »
ODJ :
L’objectif est de faire une restitution et pas un débat collectif. Proposition de se
laisser un temps court volontairement (un quart d’heure par « atelier » ?)
samedi 5 –soir- : fête
Trop de temps de réunion rend impossible ces moments pourtant essentiels où les discussions se font à titre individuels autour d’un verre et pas en collectifs. Ce temps de « décantation » nous parait indispensable.
Dimanche 6 – 9h30 : réunion plénière
ODJ :
· Prises de décisions collectives sur les questions d’ordre générales (abordées le vendredi soir)… et les autres…
· Du coup toutes les interrogations, inévitables, soulevées par la restitution des ateliers se réfléchissent informellement le samedi soir (autour d’un verre ou du repas…) et se posent collectivement le dimanche. Le dimanche on prend aussi les décisions sur les choses à avancer et les prochains rendez-vous.
Dimanche 6 – après manger : rangement !
Un atelier Crasgrab (just more fun this way) a été proposé pour les personnes pouvant rester.
Evian recevra le G20 des Finances
Genève | Les ministres des Finances des plus grandes puissances sont attendus les 11 et 12 février 2011 sur les rives françaises du Léman, selon le maire d’Evian
décision a été prise hier (ndlr : jeudi), lors d’une réunion à l’Elysée. Le Ministère des finances me l’a confirmée», se réjouit Marc Francina, député maire d’Evian-les-Bains. La nouvelle a même été annoncée à un service de sécurité de Haute-Savoie. La cité du Chablais accueillera bien le G20, celui des Finances, les 11 et 12 février 2011. Une sorte de lot de consolation puisque Evian aurait préféré recevoir le prestigieux G20 des chefs d’Etat, pour lequel Nice est pressentie.
Les ministres des Finances, les gouverneurs des banques centrales et les représentants du FMI de vingt pays ou organisations sont donc attendus sur les rives françaises du Léman. Un air de déjà-vu. En 2003, Evian avait accueilli le G8. Genève s’en souvient encore. Des émeutes avaient éclaté en marge du sommet.
Ce scénario est-il à craindre pour la tenue du G20 des Finances? François Longchamp, président du Conseil d’Etat du canton de Genève, se montre avant tout prudent, car l’Elysée n’a pas confirmé l’information. «Si cette nouvelle est officielle, elle est évidemment très rassurante, réagit-il. D’un point de vue de la sécurité, la réunion des ministres des Finances des plus grandes puissances n’a rien à voir avec la venue de vingt chefs d’Etat de la planète. Les problématiques sont extrêmement moins angoissantes pour nous. Il y a d’autres événements infiniment plus importants.» Comme le Sommet de la francophonie, qui rassemblera en octobre à Montreux 70 chefs d’Etat et de gouvernement. Un rendez-vous pour lequel Genève assurera l’accueil protocolaire.
source:
http://www.tdg.ch/geneve/actu/evian-recevra-g20-finances-geneve-respire-2010-05-07
Prochaine réunion medicteam G8-G20 / Next meeting of medicteams concerning G8/G20
Bonjour à tous,
Suite aux réunions de Dijon et Paris, concernant l’organisation autours
des questions du g8 et du g20, un groupe s’est occupé de commencer à
organiser le côté medic.
Nous avons principalement :
- écrit un appel à matériel et personnes motivées - réunit des contacts et
fait le point sur les listes de diffusion - crée un adresse e-mail - crée
un espace de travail sur crabgrass - commencé à faire le point sur les
brochures
Aussi, nous proposons un w-e, pour la suite de cette organisation, mais
pas uniquement car il se dégage une volonté d’élargir fortement l’espace
de discussion et de proposer une vision à plus long terme de notre
organisation.
Ce w-e se déroulera le 5 et 6 Mars, à Paris au 40 rue René Boulanger et
l’ordre du jour sera :
PROCHAINE REUNION INTERNATIONALE 1, 2,3 Avril
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Bonjour à tou.te.s
La prochaine réunion internationale aura lieu le premier week-end
d'avril (le vendredi 1er , samedi 2 et dimanche 3) à Paris.
Vous trouverez d'ici peu de temps le programme de cette troisième
rencontre de travail NOG2011, anti G8 G20, ainsi que le lieu où aura
cette réunion sur le blog.
CONTACTS:
nog2011@riseup.net
G8-G20 France 2011 La prochaine réunion internationale de préparation aura lieu le premier week-end d’avril (le vendredi 1er , samedi 2 et dimanche 3) à Paris. INFOS PRATIQUES : LIEU : Bourdon L'arsenal 7, boulevard Bourdon 75004 Paris Métro: Bastille CONTACTS: 06 29 95 03 29 - 0033 6 29 95 03 29 nog2011@riseup.nethttps://nog2011.noblogs.org Pensez à prendre des vêtements chauds, duvets, tapis de sol... PRIX LIBRE : L'argent recolté servira à aider financièrement certain-e-s pour le déplacement et à financer le prix de revient des aliments. *Vendredi 01 avril* 17h : Accueil sur le site. Installation et organisation pratique. Mise en place du site. Ce temps d’accueil, d’information et d’installation est important pour le reste du week-end et nécessite forcément la participation du plus grand nombre afin d’aider les organisateurs déjà sur place. 20h30 : Assemblée plénière. 1 – bilan de la mobilisation dans son ensemble : quel a été l’impact de l’appel de Paris ? Des collectifs locaux ont-ils été crées ? Des actions sont-elles déjà prévues ? 2 – présentation et compte rendus des groupes. 3 – lister les questions devant être actées collectivement à la plénière du dimanche. 4 – proposer la constitution d’un groupe de facilitation pour l’ensemble des débats du week-end : facilitateur, tour de parole, temps. *Samedi 02 avril* 10h : temps d’accueil, de réveil, petit déjeuner. Cette précision semble peut-être futile et pourtant nécessaire afin de respecter le rythme de tout le monde tout au long du week-end et de renseigner les personnes n’étant pas présentes la veille. 10h30 : Assemblée plénière. 1 – rappel des points à acter en plénière dimanche et présentation des groupes existants. 2 – définition des mandats des groupes. 11h30-18h30 : temps en petits groupes. 18h30 : préparation d’une synthèse pour chaque groupe. 19h30 : Assemblée plénière. 1 – restitution des synthèses des groupes. 2 – présenter les questions générales que les groupes ont soulevées. 3 – lister les problématiques mises en évidence par cette assemblée plénière, que chaque groupe devra travailler le lendemain. Soirée : fête. *Dimanche 03 avril* 10h : temps d’accueil, de réveil, de petit déjeuner. 10h30 : temps en petits groupes, portant sur les problématiques mises en évidence par l’assemblée plénière de la veille, en essayant d’y apporter des propositions, des réponses concrètes. 12h30 : préparation d’une synthèse pour chaque groupe. 14h : Assemblée plénière (décisionnelle). 16h30 : temps de debriefing pour l’ensemble du week-end. 17h30 : rangement, ménage, restitution du lieu en l’état avec l’aide du plus possible de monde
PARIS – Réunion de préparation LE 5 avril 2011
Réunion de préparation LE 5 avril 2011 Au CICP à 19h30, 21 ter rue VoltaireDe novembre 2010 à novembre 2011, la France s’est vue confier la
présidence des G8 et G20. Les 26 et 27 mai,
se tiendra le G8 à Deauville.
Nos vies sont de plus en plus sous contrôle. Les villes dans lesquelles
nous vivons deviennent de véritables
laboratoires urbains où s’inventent, s’expérimentent et se mettent en
place de multiples dispositifs visant à
faire de nous les cobayes d’un monde où chaque déplacement, chaque
rencontre, chaque idée serait sous
contrôle.
Paris ouvre la voie vers ces villes du futur où cohabitent des millions
d’individu-e-s sans pour autant vivre
ensemble, où chacun-e se retrouve seul et isolé face à un étau répressif
qui se resserre, où nous devons rester
aux places qui nous sont assignées. Notre ville se sophistique, souvent
de manière fine voire invisible. Cartes
magnétiques pour le métro, “vidéoprotection”, fichages, flicage,
contrôles récurrents, propagande
publicitaire, espaces délimités, cadences imposées... Notre quotidien
doit être connu, organisé, contrôlé.
Car nous ne devons pas nous écarter du droit chemin.
Car nous devons travailler, consommer et fermer notre gueule.
En réponse à l’appel international à des actions décentralisées contre
le G8 (Appel de Dijon, Deauville nous ne
boirons pas de ton eau), un collectif de parisienNEs s’est monté pour
réfléchir aux possibilités d’actions à
notre niveau local.
Profitons du terrain particulièrement propice de la capitale pour
laisser libre cours à notre imagination.
Militant-e-s, artistes, précaires, sans papier-e-s, salarié-e-s, clowns,
activistes, squatteur-se-s et tou-te-s
celleux qui se sentent exclu-e-s ou ne se reconnaissent simplement pas
dans le système actuel, reprenons
notre rue.
Pour créer une convergence avec les actions qui auront lieu dans les
autres villes, nous proposons d’inscrire
nos actions dans le cadre qui a été décidé lors de la dernière réunion
internationale qui a eu lieu début février
à Paris.
Le 26 mai faisons fourmiller Paris de notre contestation, informons et
sensibilisons sur l’impact des décisions
internationales sur nos vies quotidiennes, sur la vie locale. A nous, à
vous, à toutes et tous de construire cette
journée.
Le 27 mai, mettons sur pieds un parade festive, offensive, conviviale,
créative... afin de nous réapproprier
l’espace (géographique, visuel, temporel, sensoriel...), qu’on nous a volé.
Ces deux jours anti-G8 appartiennent à tout le monde. A chacun
d’imaginer ses actions ou ses modes
d’apparition, ensemble ou de manière affinitaire. Car ce n’est pas une
rue, mais tout Paris, que nous voulons :
laissons aller notre imagination collective !
Construisons ensemble cette mobilisation !
23/04 - 1/05 : Formation medical team enLoire-Atlantique
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Dans le cadre du G8-G20, mais aussi dans la perspective de se former sur
du plus long terme aux pratiques street medic (secouristes de manif), une
formation aura lieu du 23 avril au 1er mai
L’intérêt d’une telle formation est d’acquérir un peu plus d’autonomie sur
notre corps et notre santé, éviter les charges d’évacuation quand on fait
appel aux secours officiels, éviter les arrestations dans les structures
de soins etc..
Cette formation traitera uniquement des problèmes médicaux que l’on peut
rencontrer en manif, principalement de la traumato, gestion du stress et
des problèmes liés à la panique, organisation de binômes mobiles dans les
manifs ou actions, et d’équipe médicale sur des camps autogérés
(logistique, matos..). Elle comprendra à la fois théorie et simulations
pratiques. Aucune connaissance préalable n’est demandée.
Les personnes intéressées doivent nous contacter pour s’inscrire, et
connaître le lieu exact.
Etant donné le petit nombre de formateurs-trices, nous sommes obligé-e-s
de restreindre le nombre de participant-e-s à une vingtaine. L’idéal
serait d’avoir 2 personnes maximum de la même ville, ayant notamment
l’envie de s’investir sur le G8-G20 et d’avoir ainsi une dizaine de villes
représentées, afin de créer un réseau comme il peut en exister dans
d’autres pays, et que ces 2 personnes puissent éventuellement à leur tour
former d’autres activistes de leur ville.
On demande à chacun-e de suivre la formation du début à la fin.
Pour faciliter l’organisation, nous souhaiterions boucler les inscriptions
avant le 8 avril.
Pour celleux qui ne peuvent pas venir à ces dates, tenez nous informé-e-s
aussi pour qu’on puisse éventuellement organiser d’autres formations.
PS : formation et hébergement gratuits, et repas à prix libre.
Plus d’infos et “inscriptions”, contactez rapidement :
Anti G8 au Havre. Faut-il avoir peur de la police ?
Lu sur le Mague : "En riposte à la réunion du G8 qui se déroulera à Deauville, les anticapitalistes et les altermondialistes vont investir Le Havre du 20 au 29 mai. Les temps forts attendus se dérouleront les 21 mai (manif et meeting internationaux et concert) et le 22 mai (forums sociaux). Une agitation qui, à J-17, perturbe la mairie UMP et la sous-préfecture...
La maison des syndicats du Havre redevient la ruche qu’elle était durant la lutte contre la réforme des retraites. Réunions et assemblées générales locales ou régionales s’y succèdent à bon rythme pour mettre au point le contre-G8 qui va bousculer les habitudes militantes et le train-train municipal dans une ville écorchée vive par l’envahissant chantier du futur tramway.Si, côté militant, ce n’est pas encore le parfait pays des Bisounours anticapitalistes, force est de constater que les divergences sont mises en veilleuse pour se serrer les coudes contre l’ennemi commun : le G8 illégitime, nuisible et ruineux. CGT, CFDT, Solidaires, FSU, CNT sur un même appel, ça ne s’était encore jamais vu ici. A ce front syndical, s’ajoutent des associations (AC !, Ligue des droits de l’homme, CCFD Terre solidaire, Attac, Artisans du Monde, RESF, Camion citerne pour les Sahraouis, Bateau pour Gaza...) ainsi que des partis et mouvements politiques (PCF, MJCF, PS, MJS, NPA, les Verts, GU, FASE, PG, Objecteurs de croissance, Camp action climat, Le Libertaire...) et des inorganisé-e-s. Un éventail encore renforcé par des structures régionales et nationales. Une union vécue comme une chance et une force. Et la porte reste ouverte.Tout le monde a vite compris que tout le monde a besoin de tout le monde pour mettre sur pied un truc vraiment pas évident à gérer dans un calendrier aussi serré. Les préoccupations présentes sont très concrètes. Il y a plein de boulot pour celles et ceux qui négocient le délicat parcours de la manif, celles et ceux qui organisent le concert, celles et ceux qui contactent des invité-e-s pour les forums sociaux et le meeting, celles et ceux qui préparent le village autogéré, sans oublier les aspects juridiques, les collages, la bouffe, les pansements...Côté mairie et sous-préfecture, c’est un peu la soupe à la grimace. Manière de plomber l’ambiance et de jouer la carte « ville morte », les autorités ont fait annuler tous les rendez-vous prévus les 21 et 22 mai. La fête des Bretons du Havre, un spectacle de danse, un vide-greniers et même un concert des Ogres de Barback sont passés à la trappe. L’accès à la plage sera également interdit. Là-dessus, ajoutez quelques déclarations du maire à la Une des médias locaux et vous aurez tous les ingrédients d’un début de dramatisation tout à fait malsain. « Faut-il craindre le 21 mai ? », titre plein pot le Havre Libre du 4 mai pour le compte-rendu du dernier conseil municipal. « Je ne veux pas crier au loup, mais l’inquiétude est réelle, a lâché Edouard Philippe, le maire UMP. Il ne s’agit pas de dire aux Havrais : restez chez vous. Mais nous devons être très prudents et attentifs à ce que l’on ne soit pas confrontés à des débordements. »Le contre-sommet de l’OTAN, en 2009 à Strasbourg, est l’épouvantail brandi par les autorités. Coïncidence, Pierre Ory, le sous-préfet du Havre, opérait en Alsace à cette époque. Il reste semble-t-il marqué par des événements qui furent ponctués par de nombreuses provocations... policières. Le champ de bataille politico-médiatique et militaire fume encore. « Faut-il avoir peur de la police ? » pourraient demander les anti-G8 qui dénoncent cette insistance à vouloir effrayer les habitants et les commerçants. Des enseignes parlent déjà de fermer boutique et de se barricader. Espérons que la guerre ne sera que psychologique… Nous avions vu une vidéo où des policiers se comportaient comme des voyous en caillassant des manifestants anti-OTAN pacifiques. Fait-divers pas banal. Nous nous souvenons aussi des descentes policières chez les Strasbourgeois qui avait simplement accroché des drapeaux arc-en-ciel à leur fenêtre.Les anti-G8 n’ont aucune envie de capituler face aux menaces voilées et à l’intox en cours. Le droit de manifester est-il toujours un droit ou non ?« Les autorités adoptent une stratégie de tension, constataient les militant-e-s lors de la conférence de presse tenue cet après-midi à Franklin à J-17. Certains auraient sans doute intérêt à ce que ça se passe mal, mais la militarisation n’est pas de notre côté. Nous ne sommes pas dupes. En montant une psychose, les autorités, sans doute au plus niveau, vont essayer de nous discréditer. Nous nous y attendions. Nous, nous préparons une manifestation festive et revendicative qui sera suivie par des gens venus de partout, mais les Normands seront majoritaires. »
Avec des manifs atteignant des pointes de 35 000 personnes durant la lutte contre la réforme des retraites, le vivier contestataire local est en effet très vivace. Tous au Havre pour dire : « G8 dégage ! »
Demandez le programme :
Samedi 21 mai
A 15h, manifestation internationale. Départ de la gare SNCF.
A 18h, meeting international sur le champ de foire derrière la gare SNCF avec (sous réserves) Fred Leplat, des militants japonais, tunisiens, russes.
A 19h, concert rock-folk-rap-punk-chansons au même endroit avec (par ordre alphabétique et sous réserves) Acoosmik, Bad Joke, Burning Heads, Dominique Comont, Fenouil et les Fines Herbes, Grand Final, Médine, Les Porcs Autonomes, Plan B, La Rabia, Red Lezards ...
Dimanche 22 mai
De 10h à 17h, Forums sociaux à l’Université (25, rue Philippe-Lebon) sur les thèmes : Les peuples, pas la finance ! ; Femmes : égalité de droits ; Entre les peuples, des ponts, pas des murs ! ; Nourrir les peuples, pas le capital ! ; Le nucléaire, parlons-en ensemble ; Contre l’austérité imposée par le capitalisme ; Face aux urgences écologiques et sociales, quelles transitions ? ; Révolutions arabes : contre l’impérialisme, quelles solidarités internationales ? ; Bas les pattes sur Internet !
Mercredi 25 mai
A 17h30, à l’Université (Amphi 5), conférence de Benjamin Coriat, des Economistes Atterrés, sur la crise financière. Soutenue par l’Université Populaire.
Jeudi 26 mai
Initiatives et manifestations à Caen et, pour les Havrais, « au plus près » de Deauville (sachant que le pont de Normandie sera bloqué par la police...).
Du 20 au 29 mai
Village alternatif dans la forêt de Montgeon dans un ancien camping municipal à l’abandon. Le camp fonctionnera sur un principe autogestionnaire. Un appel est également lancé aux Havrais pour qu’ils « adoptent » des manifestant-e-s le temps du week-end de mobilisation.
D’autres initiatives menées par ce collectif ou d’autres auront lieu en Normandie (à Rouen notamment le 11 mai) et ailleurs autour de ces dates. Le capitalisme nous ratiboise partout. Ratiboisons-le partout !
par Paco
Pour plus d’infos :
Site Internet national
Site Internet du village autogéré du Havre
Site covoiturage
Courriel national : g8-contact@mobilisationsg8g20.org
Courriel Le Havre : alterg8.lehavre@gmail.com
Courriel hébergement manifestants : g8-heberg@mobilisationsg8g20.org
Courriel village autogéré : lehavre-nog8-2011-contact@riseup.net
Page Facebook Mobilisations G8G20 : les peuples d’abord, pas la finance
Samedi 21 et dimanche 22 mai à Roquefort les Pins près de Grasse
Formation aux actions de desobeissance civile contre les G8G20 dans les Alpes Maritimes
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Dans les Alpes Maritimes, dans le cadre de mobilisations contre les G8 et
G20 , notamment :
1°) Deux stages de désobéissance civile non violente :
Samedi 21 et dimanche 22 mai à Roquefort les Pins près de Grasse
Samedi 18 et dimanche 19 juin dans un centre de vacances proche de La Tour
sur Tinée.
Précisions pour inscription, sur les contenus des stages en fichier joint.
Le nombre d'inscritEs étant limité à cinquante au maximum par stage de
désobéissance civile,deux stages semblables ont été mis en place . Il y a encore des places
libres :
environ 70 inscritEs à ce jour pour les deux stages
(des départements 06, 83, 13, 04, 84, 26 à ce jour).
Informations complémentaires sur demandes (;
amadei.henri@wanadoo.fr;).
Voir aussi sur
www.desobeir.net
2°) Un stage de formation de clowns activistes le samedi 24 et le dimanche
25 septembre,
dans les Alpes Maritimes.
3°) Un débat public sur (contre) le G20 le 4 juin avec la revue Ni Patrie Ni
Frontières
4°) Un concert public contre le G20 en octobre 2011 .
Une dizaine de groupes musicaux de plusieurs départements ont répondu
positivement.
Lieu en instance, aux alentours de Cannes (lieu du G20 début novembre).
Pour plus d'infos :
http://caam.over-blog.com/
(CAAM = Collectif Anarchiste des Alpes Maritimes)-----
Pour inscription à l’un ou l’autre des stages de désobéissance civile non
violente :
NOM(s) Prénom(s) :
Coordonnées : adresse, tél., courriel :
Nombre de personnes :
+ enfants éventuellement ? Nombre ? âge
Disponibilité et préférence pour le stage des samedi+dimanche des :
samedi 21 et dimanche 22 mai ?
samedi 18 et dimanche 19 juin ?
Disponible pour les deux dates de stages
Et acceptant de faire l’un ou l’autre
(équilibrage numérique, pas plus de cinquante par stage)
Suggestions ?
Communiqué :
Alpes Maritimes : Deux stages de désobéissance civile non violente
Ces deux stages se dérouleront respectivement le samedi 21 mai et le
dimanche 22 mai 2011 à Roquefort les Pins d’une part, le samedi 18 juin et
le dimanche 19 juin dans un centre de vacances aux alentours de La Tour sur
Tinée d’autre part.
Le programme est le suivant, en gros : principes de l’action directe non
violente, limites personnelles, techniques de gestion de la violence (la
notre, celle de l’adversaire), méthodes d’organisation d’une action (rôles,
tâches, etc), techniques de résistance corporelle, nos droits face à la
police, travailler avec les journalistes – et un jeu de rôle « grandeur
nature » pour mettre en pratique les acquis des différents ateliers, et
ressentir au niveau des émotions ce qui se passe dans une véritable action.
S’inscrire auprès de Amadéi Henri, Pont du Martinet, 06450 Lantosque ;
amadei.henri@wanadoo.fr
; , en précisant lequel des deux stages, 21+22 mai
ou 18+19 juin , vous convient le mieux.
L’encadrement du stage est assuré par des formateurs-formatrices des
Désobéissants, site
www.desobeir.net.
Prévoir des contributions financières (stages qui devront s'autofinancer),
prix
libres selon revenus et volonté, mais aussi des repas en commun,
l'acquisition éventuelle de jeux alternatifs, livres et documents divers.
A diffuser !
ANTI-G8 PARIS : ACTION LE 26 MAI 2011 !
APPEL PUBLIC
Nous, jupes roses et sans-culottes, cagoules et bonnets, mitaines et foulards imbibés de citron, masques de latex et lunettes de plongée, communiquons à tou.te.s notre volonté de passer à l’action, ce jeudi 26 au matin, contre la finance organisée et ses réseaux mafieux. Nous appelons une horde débonnaire et clandestine à venir nous rejoindre le jeudi 26 mai à 9h à la Rotonde de la Villette (Métro Stalingrad) pour un départ groupé en direction d’un symbole bien connu de la manigance capitaliste, en vue de son occupation.
Nous avertissons copains et copines que le risque juridique sera faible, mais que la jouissance sera grasse, car nous avons prévu de nous maintenir dans ledit lieu jusqu’à la dissolution de la dette grecque et du déficit de la sécu française.
Nous avons prévu de monopoliser l’espace, d’y faire du boucan et d’y jeter des paperasses, d’y crier notre mépris pour le pognon et la magouille. Toute participation insolente et désinvolte de votre part ne nous rendra que plus forts et plus aguerris pour les batailles suivantes.
Prenez avec vous tout ce qui agace les nanti.e.s et les cadres, qui rend nauséabond l’atmosphère et réjouit les compagnon.ne.s révolté.e.s.
JEUDI 26 MAI à 9H00 pétante,
Place de la rotonde (Métro Stalingrad)
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LE G8 EST PARTOUT, NOUS AUSSI !
Appel international à actions décentralisées
simultanées les 26 et 27 mai 2011
Deauville et Cannes sont des villes de casinos où seront décidées fortunes et misères par les tricheur‑es des G8 et G20. Mais cette fois nous n’irons pas à leur petite fête.
Car partout nous côtoyons des lieux, façades ou images qui vantent l’arrogance capitaliste. Les profits de quelques‑uns grâce aux crises fabriquées s'affichent sans honte malgré leur recours systématique à la délinquance et au contrôle social.
Le contrôle social ? Chaque mouvement, chaque mot, chaque idée sont fichés, fliqués. Chaque tentative de vivre autrement, ou simplement de défendre ses droits, est réprimée violemment, utilisant les bavures toujours plus graves et couvertes, et les lois antiterroristes qui s'appliquent à tou‑tes. Il s'agit du contrôle idéologique, économique, spatial, temporel, numérique... Associé à notre passivité, c'est l'outil indispensable à la survie du capitalisme.
Les lois internationales ont pour but de favoriser l’implantation solide et en douceur du totalitarisme d'aujourd'hui : le capitalisme et son lot de désastres économiques et écologiques. Les référendums sont invalidés. Les élus ne sont pas au service du peuple. Les manifestations sont réprimées violemment par une police nationale qui défend naïvement un pouvoir supranational qui la méprise et l'utilise comme milice privée. Les recours traditionnels démocratiques sont donc inefficaces, quel que soit le pays où nous nous trouvons. Certains peuples osent aujourd'hui, ne soyons pas seulement téléspectateur‑es de leur courage. Ces pays pauvres qui se soulèvent nous montrent l'image d'une révolution saine. Ils ne veulent plus des dictatures mises en place par les pays riches ni de la corruption entretenue par les sociétés multinationales et protégée par les lois internationales... des pays riches.
Ces lieux où s'exercent les capitalismes quotidiens sont autant d’endroits stratégiques, juste là sous nos fenêtres, ce qui se dit durant un G8 se fait devant nos yeux. Le capitalisme est unique et mondial, les luttes sont multiples et locales. Créons, recréons du lien social, seules des échelles locales sont appropriées pour autogérer nos luttes et notre quotidien, utilisons ces liens et ces luttes comme autant de perspectives pour créer un autre modèle de civilisation aujourd’hui indispensable !
Constel'actions
Manifester sur place face à la répression armée répond à certains besoins mais nous limite dans notre efficacité.
C'est pourquoi nous appelons à l'organisation d'actions décentralisées durant la durée du G8, en France et partout ailleurs. Nous appelons des groupes constitués ou non à s'organiser localement pour mener des actions dans les lieux, sur les thématiques et de la manière de leur choix. Blocages, attaques contre les symboles du capitalisme, manifestations, occupations, campements et autres lieux de vie, diffusion de textes, d'images, de paroles, ...
Pour un impact plus fort, pour une cohérence plus visible, nous proposons que les actions du jeudi 26 mai soient dirigées vers les luttes locales et que celles du vendredi 27 soient concentrées sur le contrôle social.
Si l'inspiration vous entraîne hors de ce calendrier, foncez ! Chaque pays a ses possibilités, chaque personne ses envies : multiplions les ! L'imagination est de notre côté, soyons prévisibles, soyons imprévisibles et faisons le savoir haut et fort avant, pendant ou après.
Le capitalisme est partout, nous aussi, attaquons‑le là où il est.
https://nog2011.noblogs.org/
https://nog2011.noblogs.org/g8g20-appel-de-dijon-deauville-nous-ne-boirons-pas-de-ton-eau/
https://nog2011.noblogs.org/post/2011/03/16/appel-village-autogere-contre-le-g8-et-le-g20-pendant-l%E2%80%99ete/
De novembre 2010 à novembre 2011, la France s’est vue confier la présidence des G8 et G20. Les 26 et 27 mai, se tiendra le G8 à Deauville.Nos vies sont de plus en plus sous contrôle. Les villes dans lesquelles nous vivons deviennent de véritables laboratoires urbains où s’inventent, s’expérimentent et se mettent en place de multiples dispositifs visant àfaire de nous les cobayes d’un monde où chaque déplacement, chaque rencontre, chaque idée serait sous contrôle.
Paris ouvre la voie vers ces villes du futur où cohabitent des millions d’individu-e-s sans pour autant vivre ensemble, où chacun-e se retrouve seul et isolé face à un étau répressif qui se resserre, où nous devons rester aux places qui nous sont assignées. Notre ville se sophistique, souvent de manière fine voire invisible. Cartes magnétiques pour le métro, “vidéoprotection”, fichages, flicage, contrôles récurrents, propagande publicitaire, espaces délimités, cadences imposées… Notre quotidien doit être connu, organisé, contrôlé.
Car nous ne devons pas nous écarter du droit chemin.
Car nous devons travailler, consommer et fermer notre gueule.
En réponse à l’appel international à des actions décentralisées contre le G8 (Appel de Dijon, Deauville nous ne boirons pas de ton eau), un collectif de parisienNEs s’est monté pour réfléchir aux possibilités d’actions à notre niveau local.
Profitons du terrain particulièrement propice de la capitale pour laisser libre cours à notre imagination. Militant-e-s, artistes, précaires, sans papier-e-s, salarié-e-s, clowns, activistes, squatteur-se-s et tou-te-s celleux qui se sentent exclu-e-s ou ne se reconnaissent simplement pas dans le système actuel, reprenons notre rue.
Pour créer une convergence avec les actions qui auront lieu dans les autres villes, nous proposons d’inscrire nos actions dans le cadre qui a été décidé lors de la dernière réunion internationale qui a eu lieu début février à Paris.
Le 26 mai faisons fourmiller Paris de notre contestation, informons et sensibilisons sur l’impact des décisions internationales sur nos vies quotidiennes, sur la vie locale. A nous, à vous, à toutes et tous de construire cette journée.
Le 27 mai, mettons sur pieds un parade festive, offensive, conviviale, créative… afin de nous réapproprier l’espace (géographique, visuel, temporel, sensoriel…), qu’on nous a volé.
Ces deux jours anti-G8 appartiennent à tout le monde. A chacun d’imaginer ses actions ou ses modes d’apparition, ensemble ou de manière affinitaire. Car ce n’est pas une rue, mais tout Paris, que nous voulons : laissons aller notre imagination collective !
Contre-sommet de Deauville : le prefet n'ycomprend
plus rien !
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En marge du G8 à Deauville, des groupes « anticapitalisteset antiautoritaires » prévoient un contre-sommet à Caen.
« Deauville, nous ne boirons pas de ton eau. » Sous ce titre a été lancé un appel de Dijon, ville où se sont réunis fin novembre 80 représentants de divers pays « sur des bases anticapitaliste et antiautoritaure claires ». Le G8 se tiendra à Deauville les 26 et 27 mai.
Conclusion des participants : « Les sommets officiels de l'Otan à Strasbourg ou du G8 à Heilligendam se sont déroulés sans problèmes notables pour les dirigeants. Deauville est une petite station balnéaire bourgeoise qui sera à coup sûr militarisée et où la population nous sera hostile : les possibilités de bloquer efficacement le sommet du G8 (ou celui du G20 à Cannes) nous semblent quasi nulles. »
En conséquence, l'appel de Dijon invite « des groupes à se constituer dans toutes les régions de France et du monde et à s'organiser localement pour mener des actions décentralisées, dans les lieux et sur les thématiques de leur choix ». Dans cette perspective, un site Internet « Contre-sommet du G8 » invite à un rassemblement à partir du 22 mai à Caen. Depuis 1968, la capitale bas-normande cultive un fonds contestataire qui traverse les générations.
Par ailleurs, une caravane « autogérée, et ouverte à tous et toutes » partie de Lyon, doit traverser villes et villages de France, afin de participer à la mise en place des mobilisations contre les G8 et G20.
Contre-sommet du G8 de Deauville : personne n’a contacté le préfet du Calvados
« Je n’ai été encore contacté par aucune organisation pour un éventuel contre-sommet », explique Didier Lallement en charge de l’organisation du G8 programmé à Deauville les 26 et 27 mai. « Je suis tout à fait prêt à discuter. Une telle manifestation ne s’improvise pas. On ne pourra pas faire du camping sauvage le long des routes avec des milliers de personnes ». Du côté des mouvements prêts à se mobiliser contre le rassemblement des pays les plus riches du monde, une réunion est programmée samedi à Caen. Son objectif : préparer un grand rassemblement international à Caen ou au Havre, le week-end précédent le G8.
Un contre-sommet du G8 plutôt au Havre qu’à Caen
En réaction au sommet qui réunira les représentants des huit pays les plus riches de la planète à Deauville, les 26 et 27 mai, des « collectifs d’organisations militantes et de citoyens » planchent sur la tenue d’un contre-sommet dans une ville de Normandie. Il pourrait avoir lieu au Havre, et non à Caen comme il avait été envisagé un moment. La décision devrait être entérinée lundi prochain, lors d’une réunion du collectif havrais. Prévue le week-end précédent le sommet du G8, la mobilisation prendrait la forme d’une manifestation internationale, avec l’installation d’un « village alternatif ». D’autres actions ponctuelles sont à l’étude dans d’autres villes.
G8 de Deauville : le plan de sécurité dévoilé
Le Préfet du Calvados et Préfet de Basse-Normandie, Didier Lallement, et le maire de Deauville, Philipe Augier, ont présenté vendredi 25 février à Caen, le plan de sécurité qui entourera le G8 prévu dans la station balnéaire les 26 et 27 mai prochains.
Pas moins de 17 chefs d'Etat sont attendus, dont dix le premier jour, pendant que 8 000 personnes graviteront autour. Le Préfecture a ainsi délimité une “zone sanctuarisée” qui s'étend en largeur sur quatre rues parallèlement à la plage, et en longueur entre les rues de Gheest et Robert Fossorier (zone verte sur le plan). Une autre zone dite "sécurisée", plus large, a également été délimitée. Les autorités invitent les habitants de ce secteur à récupérer au plus vite un badge pour pouvoir y accéder. Toutes les personnes non-badgées ne pourront pas y accéder. "Le plan entrera en vigueur le mercredi 25 mai à minuit et durera jusqu'au départ du dernier chef d'Etat", a précisé le Préfet. Pendant cette pèriode, le port de Deauville sera fermé aussi bien pour les pêcheurs que pour les plaisanciers. "Cest une mesure de sécurité inévitable, dans la mesure où nous n'allons pas contrôler tous les bateaux qui sont en mer pendant le sommet", a expliqué Didier Lallement. La gare SNCF restera close également.Toutes les activités qui se trouvent dans la zone "sanctuarisée" resteront ouvertes pendant la durée de l'événement, mais ne seront donc accessibles qu'aux 8 000 personnes acréditées (personnels de délégation, journalistes, forces de l'ordre, résidents, commerçants...). Philippe Augier s'amuse d'ailleurs de cette situation : "J'annonce un changement de clientèle car les chefs d'Etat viendront en famille, ce qui est plutôt bon signe pour le commerce".Cet important dispositif vise donc à sécuriser l'endroit, en limitant le risque terroriste et en interdisant l'accès à tous les éventuels animateurs d'un contre-sommet. "Pour l'instant nous n'avons pas été contactés à ce sujet, et nous invitons tout ceux qui le souhaitent à le faire, si du moins ils veulent en discuter", a affirmé Didier Lallement. Une chose est sûre, les autorités ne veulent pas d'un contre-sommet dans un périmètre trop proche de Deauville, Trouville étant par exemple exclue.
Plan de sécurité pour le G8 de Deauville - 26 et 27 mai 2011
Plusieurs milliers de policiers et gendarmes assureront la sécurité du G8 qui doit avoir lieu à Deauville (Calvados) les 26 et 27 mai, a annoncé aujourd'hui le préfet de Basse-Normandie Didier Lallement lors d'une conférence de presse.
"Cela inclut les forces de l'ordre qui seront à la gare Saint-Lazare pour contrôler les trains" à destination de la Normandie, a précisé le préfet qui a refusé de donner un chiffre précis. Environ 3.700 chefs de l'Etat et délégations diplomatiques et 4.000 journalistes sont attendus à Deauville pour ce sommet qui rassemble les huit pays qui représentent 65% du PIB de la planète, a aussi dit M. Lallement. Dix Etats seront représentés le premier jour, 17 le deuxième.
"L'Etat a réservé presque la totalité des hôtels entre Caen et Le Havre", a précisé le préfet. L'Etat n'a pas encore été contacté par des personnes souhaitant organiser un contre G8, a aussi affirmé M. Lallement, qui ne s'en est pas étonné, soulignant que le sommet avait lieu dans trois mois
Deux périmètres de sécurité sont prévus. Dans la zone 1 de sept à huit hectares autour du lieu où se déroulera le sommet, seuls délégations, journalistes et habitants badgés seront autorisés à entrer. Mais la circulation et le stationnement de véhicules sur la voie publique y sera interdit. L'accès de la zone 2 (soit un peu plus que le périmètre de la commune de Deauville) sera également réservé à ces personnes mais la circulation et le stationnement y seront autorisés. L'objectif n'est "pas seulement" de bloquer d'éventuels manifestants, a précisé le préfet. Il s'agit de lutter contre le terrorisme, a-t-il rappelé.
18.02.2011
La CRS N° 9 de Rennes s’entraîne pour le G8 de Deauville
Les hommes de la CRS n° 9 de Rennes participeront au dispositif de sécurité qui sera mis en place pour le G8 de Deauville. Dans cette perspective, cette compagnie s’entraîne avec de nouveaux moyens de sécurisation dont un camion lance eau et des grilles de protection mobiles d’une largeur de 18 m pouvant, en moins de 10 minutes de bloquer des accès et sécuriser des secteurs. Hier, dans leur caserne, les CRS ont mis en œuvre ces moyens avec de faux manifestants très motivés.
Rejoignez les bénévoles niçois-e-s
du lundi 31 octobre au samedi
5 novembre 2011
Le contre-sommet de Nice verra une participation importante de personnes venues exprimer leur refus des politiques d’austérité néolibérales et proposer leurs alternatives pour un autre monde.
Pour réussir ces rencontres internationales, nous devons être nombreuses et nombreux pour contribuer à leur organisation.
Nous avons en ce sens besoin de personnes dès le lundi 31 octobre pour préparer en amont l’arrivée des manifestant-e-s :
préparation des repas pour la soirée du mardi 1er
récupération du matériel (concert, cuisine, etc.)
gestion du gymnase pour l’hébergement
Le gros du travail sera le mardi 1er novembre, dès 8h, jour de la manifestation internationale (départ 15h) et du concert (à partir de 18h) aux Anciens abattoirs dans le centre de Nice :
préparation des repas pour la soirée
accueil des participant-e-s
service repas et boissons lors de la soirée
gestion des gymnases pour l’hébergement
Une présence bénévole importante reste nécessaire lors du Forum des peuples des mercredi 2 et jeudi 3 novembre :
gestion des salles des ateliers
accueil des participant-e-s
préparation de l’action à Monaco
gestion des gymnases
service buvette
Le vendredi 4, après les actions de clôture du G20 et du contre-G20, nous remettrons en état les différents espaces que nous aurons occupés pour le contre-sommet.
Un gymnase restera à notre disposition pour la nuit du vendredi 4 au samedi 5 novembre.
Merci de prendre contact avec le collectif 06 et de laissez vos coordonnées !!
Coordination bénévoles :
04.93.28.14.78 / 06.76.27.75.38