Lundi 19h Place des Terreaux Lyon , rassemblement en soutien aux Pussy Riot!! Voici l'affiche de l'évènement! N'hésitez pas à la diffuser massivement!!!
Concert Arsène Lupunk Trio, mardi 2 octobre à 20 heures (entrée prix libre)
Afin de fêter dignement la rentrée, la librairie organise un concert (entrée à prix libre) avec les célèbres Arsène Lupunk (Acoustik punk vocal).
Laissez-vous emporter par les chants, choeurs et danses enfiévrés de Frédéric Chopunk, Franck Zappunk et Edgar Allan Punk qui revisiteront devant vos zyeux et zoreilles zébahis : Parabellum, Bérurier Noir, Ludwig Von 88, Les Wampas, Les Cadavres, Les Rats, Oberkampf, Tulaviok, Starshooter, OTH,, Zabriskie Point, Warum Joe, Les Olivenstein, Métal Urbain, Kochise, Bulldozer... et plus si affinités Librairie libertaire La Gryffe, 5 rue Sébastien Gryphe, 69007 Lyon.
Tél 04 78 61 02 25. Horaires : de 14 à 19 h du lundi au samedi.
Métro saxe-Gambetta
Repas Solidaire pour Alvaro Sebastian
Prisonnier politique de Loxicha - Oaxaca, Mexique
Samedi 6 octobre 2012 à partir de 19h30
Cafétéria du CICP
21 ter rue Voltaire, 75011 Paris
(Métro : Rue des Boulets)
Organisé par le Comité de Solidarité avec les Peuples du Chiapas en Lutte
(CSPCL) et Les trois passants.
Au Menu :
* Humus
* Empanadas végétariennes
* Sauces mexicaines
* Gâteau
Prix libre à partir de 5 euros
En 2005, suite à la publication de la Sixième Déclaration de la forêt
Lacandone, diverses organisations, groupes et individu-e-s se sont joints
à un appel de l'EZLN pour lancer un mouvement national anticapitaliste,
civil et pacifique, en bas et à gauche, en se débarrassant des partis
politiques et de la corruption des gouvernements et des campagnes
électorales. Ce mouvement s'appelle « L'Autre Campagne ». Dans l'Autre
Campagne, différents terrains de lutte existent : la défense des
ressources naturelles, du territoire, pour l'autonomie... La réponse de
l'État à ces luttes a été la répression. C'est dans ce contexte que nous
parlons de plusieurs dizaines de compagnons et compagnes prisonnier-e-s
pour avoir lutté dans tout le Mexique.
Qui est Alvaro Sebastian Ramirez?
Alvaro adhère à l'Autre Campagne suite à la visite du sous-commandant
Marcos à la prison de Santa María Ixcotel dans la ville d'Oaxaca ; depuis,
il mène une lutte avec espoir et conviction à l'intérieur de la prison. Il
a été condamné à 29 ans de prison pour les délits d'homicide qualifié,
tentative d'homicide, terrorisme et conspiration. Alvaro travaillait en
tant qu'enseignant et il était aussi engagé dans sa communauté pour
l'amélioration des conditions d'éducation et de vie en général ; il a mené
avec ses compagnons une lutte pour la défense de la terre contre les
caciques et le gouvernement. Il a toujours défendu l'autogouvernance basée
sur les « us et coutumes » des Zapotèques, refusant l'ingérence des partis
politiques. En 1996, l'attaque de l'Armée Populaire Révolutionnaire (EPR)
à Huatulco allait servir de prétexte pour justifier la répression contre
les Indiens de la Région Loxicha, Oaxaca. C'est dans ce contexte qu'Alvaro
Sebastian Ramirez a été arrêté et torturé ; il a été obligé de signer et
de donner ses empreintes digitales sur des feuilles blanches pour lui
fabriquer des délits. Sa famille a été poursuivie et menacée pendant de
nombreuses années.
Pourquoi ce repas ?
Le 6 et 7 octobre prochain se déroulera le IIème Forum contre la prison
politique au Mexique ; il aura aussi pour fil conducteur la libertéd'Alvaro Sebastian Ramirez dans la ville d'Oaxaca. Cette initiative émerge
des prisonniers eux-mêmes, leurs familles et des organisations qui les
soutiennent, telles que le Réseau contre la répression et pour la
solidarité, le groupe de travail « nous ne sommes pas tous et toutes là »,
la Croix Noire Anarchiste de la Ville de Mexico, la Voix de zapotèques
Xiches en prison et diverses organisations de l'Autre Campagne. Le but de
ce forum est de mettre en place des mécanismes d'actions solidaires pour
libérer les prisonnier-e-s, tout en respectant leur dynamique de lutte à
l'intérieur de la prison. Ce repas de solidarité a pour objectif d'aider
financièrement ce forum pour qu'il puisse se dérouler le mieux possible,
et de façon autonome.
Pour plus d'informations sur la campagne internationale de soutien à
Alvaro Sebastian et sa vidéo de lancement, vous pouvez consulter le site
dédié aux prisonnier-e-s de l'Autre Campagne:
https://liberonsles.wordpress.com
Slut walk : fières d’être salopes ou pas ?
La «marche des salopes», qui vise à dénoncer violences faites aux femmes, s’organise sur Lyon pour la seconde année avec un défilé programmé ce samedi 6 octobre. Et, en toile de fond, un débat en partie rhétorique et néanmoins houleux chez les féministes, sur le terme « salopes ».
Après avoir essaimé à Séoul, Rio de Janeiro, New York, Berlin ou Londres, le mouvement des SlutWalks (littéralement : «marche des salopes») débarque pour la première fois en France, à Lyon (mais aussi Paris, Bordeaux, Lille et d’autres grandes villes) ce samedi 6 octobre. La première de ces manifestations de rue s’est tenue à Toronto (Canada) le 3 avril 2011 pour protester contre les propos tenus par un officier de police local quelques semaines plus tôt. Celui-ci avait estimé que, pour leur propre sécurité, «les femmes devraient éviter de s’habiller comme des salopes». Par dérision, par provocation et aussi pour retourner contre eux le vocabulaire de leurs « oppresseurs », des féministes décident alors de lui répondre en se réappropriant le terme injurieux et en lui conférant un sens positif : celui d’une femme libre de se vêtir et de vivre sa sexualité à sa guise, et qui n’a pas à être jugée, stigmatisée ou agressée pour cela. Lors de ce premier rassemblement et de ceux qui ont suivi, beaucoup de femmes ont arboré délibérément des tenues sexy ou provocantes. Leur message ? Faire comprendre que la responsabilité d’un viol ou d’une agression sexuelle n’incombe jamais à la victime, quelle que soit sa tenue vestimentaire, mais toujours à l’agresseur.
La maman ou la putain Si, parmi les féministes, chacun s’accorde à dénoncer la culpabilisation des victimes de viol et l’euphémisation de ce crime, l’emploi du terme «salope», en revanche, est loin de faire consensus. Ce n’est pas la première fois qu’une «minorité» opprimée reprend à son compte une insulte la visant directement afin d’en faire un élément de fierté : les mots «pédé», «gouine», ou «nègre» ont connu le même destin, suscitant à chaque fois les mêmes débats au sein des mouvements d’émancipation. Certaines féministes ont ainsi fait remarquer que toutes les femmes n’étaient pas disposées à se reconnaître dans l’insulte «salope», même détournée de son sens initial, ou que ce terme s’inscrivait dans une opposition binaire («la maman ou la putain»), produit de la domination masculine et qui ne laisse aux femmes que deux choix possibles. Selon ces critiques, en se définissant elles-mêmes comme «salopes», les femmes resteraient prisonnières d’une identité forgée par le désir masculin. À Vancouver, en mai dernier, les questionnements ont été si profonds que les organisateurs de la marche ont décidé de l’annuler pour pouvoir tenir un débat à la place. Nul doute que ces interrogations traverseront aussi les manifestant(e)s qui participeront aux SlutWalks françaises.
Lundi 8 octobre 2012 à 13 h 30, 16e chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Paris Le vendredi 28 janvier 2011 s'est déroulée une action non-violente de barbouillage d'écrans publicitaires à la station Auber. Six individus ont désobéi à la loi en écrivant des messages tels que "Stop pub", "La pub pollue", "Non merci!", "RATP vendue à la pub", "Libérons l'espace public de la pub", "Non à l'opacité technologique dans l'espace public" sur les nouveaux écrans publicitaires(1). Une centaine de sympathisants, parmi lesquels des élus, étaient présents pour soutenir les barbouilleurs et manifester leur opposition à l'expansion de l'installation des écrans publicitaires dans des espaces publics tels que des gares. Les écrans publicitaires, aujourd'hui au nombre de 1 200, toujours plus intrusifs (2) et énergivores(2), sont en cours de déploiement depuis plus d'un an dans les couloirs des transports publics en Ile-de-France et dans les grandes villes de province (Lille, Lyon, ...). Il est de plus en plus nécessaire que la mobilisation contre le système publicitaire s’amplifie. Nous avons besoin : - de vous pour nous soutenir ou participer ou en adressant un message de soutien public aux Déboulonneurs (deboulonneurs.paris@no-log.org) et pourquoi vous souhaitez ne plus voir de publicité dans la rue ou ailleurs. Plus d'informations sur le site de mobilisation à l'occasion du procès : http://mobilisation.deboulonneurs.org
Merci pour toute participation, même éphémère, même modeste ! Actualités : - 18 septembre 2012 : lettre ouverte des 6 prévenus à Christiane Taubira, ministre de la Justice, lui rappelant son soutien aux Déboulonneurs, il y a quelques années… http://deboulonneurs.org/article625.html
- 8 octobre 2012 : Journée du procès
* Conférence de presse à 10 h 30 au Bar Le Petit Châtelet,11, rue Saint-Denis, 75001 Paris.
* Le Procès de 6 individus pour barbouillage d'écrans publicitaires, à 13 h 30 (venir une heure avant) Lieu: Tribunal de grande instance de Paris (devant la 16e chambre correctionnelle), 4, boulevard du Palais (Métro : Cité).Avocat : Maître Nicolas GALLON Témoins : Mehdi Khamassi (chercheur au CNRS en sciences cognitives), Thomas Guéret (membre des négaWatt). Témoignages de soutien écrits : Edgar Morin, Albert Salon. * Soirée/débat après le procès, à 20 h :
Avec les barbouilleurs en procès et éventuellement leurs témoins (sous réserve). Nous débattrons notamment des thèmes du procès, à savoir la surpublicité et ses techniques de manipulations. Lieu: à venir. - 10 novembre 2012 : concert de soutien Site de mobilisation: http://mobilisation.deboulonneurs.org
Le procès en appel de trois jeunes femmes du groupe Pussy Riot s'est brièvement ouvert lundi 1er octobre dans la capitale russe, avant d'être finalement reporté au 10 octobre. Une des condamnées, Ekaterina Samoutsevitch, a en effet annoncé avoir rompu avec ses avocats et se trouver sans défenseur. "Le renvoi demandé est accepté. L'audience est reportée au 10 octobre", a annoncé la présidente du tribunal, après une suspension d'audience. Nadejda Tolokonnikova, 22 ans, Ekaterina Samoutsevitch, 30 ans, et Maria Alekhina, 24 ans, ont été condamnées le 17 août à deux ans de camp chacune pour "hooliganisme" et "incitation à la haine religieuse" après une"prière punk"anti-Poutine chantée dans la cathédrale de Moscou. Elles avaient été arrêtées peu après avoir chanté en février dans la cathédrale du Christ-Sauveur, à deux pas du Kremlin, leur "prière punk" demandant à la Sainte Vierge de "chasser Poutine" du pouvoir. Elles ont fait appel de ce jugement. Les avocats de la défense se font toutefois peu d'illusions sur l'issue de l'appel. "Nous n'avons pratiquement pas d'espoir que le jugement change, a déclaré Me Violetta Volkova. Le maximum sur lequel nous puissions compter est une réduction de six mois de la peine." L'avocate estime pourtant que "seule une relaxe" pourrait constituer un "jugement légitime".
"NOUS RESTERONS EN PRISON" Les chanteuses du groupe russe n'espèrent pas leur libération à l'issue de leur procès en appel, selon leur interview publiée lundi par le tabloïd polonais Super Express. "Personne ne veut nous prendre en pitié. Le pouvoir fera peut-être le malin et réduira nos peines de quelques mois, mais nous resterons en prison", a déclaré à Super Express Ekaterina Samoutsevitch, selon le tabloïd qui affirme avoir transmis les questions et obtenu les réponses par écrit dans leur lieu de détention. "Je ne crois pas que l'on nous libère, mais un miracle peut toujours arriver", a déclaré pour sa part Maria Alekhina. Selon leurs déclarations citées par le tabloïd polonais, les trois femmes estiment être bien traitées en prison. "On n'ose pas nous persécuter", a déclaré Mme Samoutsevitch, selon qui "la condamnation n'est qu'une partie de la campagne contre tous les citoyens russes proches de l'opposition". "Uniquement une société civile éduquée, indépendante des services spéciaux et des corporations, peut renverser le régime de Poutine. Une telle société ne s'est pas encore formée, mais nous en faisons déjà partie", a-t-elle souligné. Selon elle, l'Eglise orthodoxe russe reste un "outil docile entre les mains de Poutine et de son régime", et c'est le pouvoir qui a décidé de leur condamnation.
Journée Mondiale contre la peine de mort
Le 10 octobre 2003 était organisée la première Journée mondiale contre la peine de mort, à l'initiative d'une série d'organisations fédérées sous la coupole "Coalition mondiale contre la peine de mort", elle regroupe des ONG, des associations de juristes, des syndicats, des collectivités locales et toutes sortes d'organisations attachés à la lutte contre la peine de mort et désirant unir leurs efforts de lobbying et d'action sur le plan international. Dans plus de 45 pays seront organisés des expositions, débats et autres activités. Entre 60 et 70 pays, principalement des régimes autoritaires, continuent d'exécuter régulièrement des condamnés à mort, a rappelé mardi Michel Taube, de l'association Ensemble contre la peine de mort. La Chine est de loin le plus important, avec entre 1000 et 3000 exécutions annuelles, suivie par l'Arabie Saoudite et l'Iran. Les Etats-Unis et le Japon sont les deux seuls pays démocratiques à continuer d'appliquer cette sanction. A l'opposé, l'Europe et l'Amérique latine ont presque intégralement banni la peine de mort. M. Taube a exprimé son soutien à l'approche diplomatique de l'Union européenne pour promouvoir la suppression de la peine de mort au niveau mondial, s'opposant à une politique de sanctions, par exemple commerciales. (Source: Coalition mondiale contre la peine de mort)
Rassemblement de solidarité jeudi 11 octobre à 18h devant les Cordeliers (côté place du Marché) et vendredi 12 octobre à 9h au Tribunal de Grande Instance de Poitiers Par une douce soirée de Juin, le 14 plus exactement, la police Poitevine, avec à sa tête son Directeur Départemental de la Sécurité Publique, continue à faire des siennes. Il est à peine 21h, place du marché, et la police est déjà à pied d’œuvre , contrôles, fouilles, amendes, interpellations. Leur intervention est très ciblée, groupe de « jeunes » , « marginaux »selon les dires de la presse locale ; personnes prenant l’apéro sur les bancs publics… La raison de cette opération policière, une réunion interne en mairie ; durant l’après midi ; entre différents services, police et services sociaux suite à la demande de certains commerçants ; pour traiter la question des « marginaux » en centre ville. Cette réunion fait suite à un long travail de stigmatisation réalisé par la presse locale1 (Nouvelle République/Centre Presse) à l’encontre des personnes qu’ils considèrent comme « marginales ». En effet depuis « la rénovation urbaine » de Grand Poitiers, et en particulier de son Cœur d’Agglo, la gentrification2est de mise, cela passe par l’éloignement du centre ville des plus pauvres et par l’aseptisation de ce dernier où seuls les rapports consuméristes y sont privilégiés. Dans ce contexte la police est là pour faire appliquer ce processus, à travers divers dispositifs répressifs à l’encontre des personnes extérieures (sic) « zonant » en centre ville, ou contre des individus indésirables qui ne seront pas chassés par la hausse des loyers (squatteur-euse-s, sans logis…). Cela se répercute dans la vie de tous les jours par un harcèlement quotidien, contrôles, fouilles, insultes, amendes (groupe de chiens, chiens sans laisses, consommation d’alcool sur la voie publique…) interpellations (stupéfiants, Ivresse.Publique.Manifeste…) ; procédés visant à épuiser « les non désiré-e-s » et à les chasser du Centre ville. Ce soir là nos pandores (une dizaine) ont appliqués cette méthode avec application, durant plus d’une heure, contrôles, fouilles, interpellations se succèdent à vitesse grand V sur la place du marche ; déclenchant des interrogations, de l’indignation, sur la place ; certains invectivent la police, d’autres filment l’opération… Soudain les forces de l’ordre interpellent un homme qui ne se laisse pas faire, des cris de solidarité avec cet interpellé fusent. Deux Policiers caméra au poing filment alors la terrasse d’un bar et plus particulièrement la table d’où sont partis les cris. S’en suit un contrôle d’identité rigoureux de la table (2 équipes de BAC et une patrouille) ; des gens sur la terrasse s’indignent de cette opération policière outrancière. Une personne de cette table est alors interpellée, malheureusement pour lui il est connu des services de police et passera 15h en Garde A Vue. Il est accusé d’outrage envers JF. Papineau (Directeur Départemental de la Sureté Départemental) et envers le commissaire Ruffin, par voie de faits, à savoir un doigt d’honneur./p> Il passe en procès pour outrage au TGI de Poitiers le Vendredi 12 Octobre à 9H.
Le 31 mars 2012, Andrés PARDO, étudiant chilien à l'EHESS et à l'Université de Toulouse le Mirail, a assisté à un concert place Arnaud Bernard à Toulouse. En repartant seul, il fut violemment agressé par un groupe néo-fasciste venu sur ce lieu de mixité culturelle pour semer la panique, faisant le salut nazi et rouant des coups clients, restaurateurs et passants. Andrés, le crâne cassé et dans le coma, a fini sa soirée à l'hôpital, victime d'une violence gratuite et ignoble. Fin juin, des interpellations ont eu lieu dans L'Oustal, local de la soi-disant maison de l'identité toulousaine, attachée au groupement néo-fasciste Bloc Identitaire. Son président se trouve à ce jour en détention provisoire dans le cadre de l'enquête pour l'agression d'Andrés. Quelques jours avant son arrestation, lui et deux autres membres de L'Oustal furent condamnés pour provocation à la discrimination nationale, raciale et religieuse (cf. La Dépêche du 07 et 28 juin 2012). À moins de deux mois de l'ouverture de ce local, certains de ses adhérents étaient déjà impliqués dans des actions racistes et une agression ultra-violente ! L'Oustal a décide de fermer ses portes le 21 septembre dernier. Cependant, ils s'allient aux Jeunesses Nationalistes pour ouvrir une section locale à Toulouse (cf. Toulouse Actu du 13/09/12). La situation n'est pas plus joyeuse dans d'autres villes de France : des groupes néo-fascistes, identitaires et nationalistes se multiplient, prétendant protéger les « bons Français de souche » et défendre une supposée identité locale. Leur philosophie est nourrie au quotidien par le discours sécuritaire des certains politiciens et médias, qui jouent sur la peur de l'autre et l'ignorance désignant ainsi des boucs émissaires pour cacher les maux du système économique actuel. La mise en pratique de leurs idées se fait par l’utilisation des propos et actions ouvertement racistes et xénophobes ainsi que de la violence physique. ÉTRANGERS, NON-BLANCS, MILITANTS DE GAUCHE, MUSULMANS, JUIFS, HOMOSEXUELS, CHÔMEURS et bien d'autres sommes donc leur ciblée préférée. Ne restons pas indifférents à ces idéologies haineuses, simplistes et dangereuses : Andrés n'est pas la première victime de la violence inouïe de ces groupes, si nous laissons quartier libre à ces vecteurs de haine, il ne sera pas la dernière. NOUS SOMMES TOUS VICTIMES DE LA HAINE, NOUS SOMMES TOUS CONCERNÉS !
Les antinucléaires pour un arrêt immédiat du nucléaire appellent à se rassembler à Lyon le 13 octobre à 14 h quai Victor Augagneur - Fosse aux Ours (M° Guillotière) derrière les banderoles "Le nucléaire c'est le capitalisme, arrêt immédiat" et "Ni rose, ni vert, arrêt immédiat du nucléaire".Contre le nucléaire, rien ne sert de fuir !
Un seul objectif : arrêt immédiat Alors que les centrales vieillissent et souffrent d'incidents à répétitions, que le chantier du nouvel EPR accumule les problèmes, l'industrie nucléaire continue son avancée destructrice. Au Japon, deux réacteurs ont été remis en marche malgré l'opposition toujours plus forte de la population. Et si, en France, les accords électoraux entre le PS et EELV vont probablement aboutir à la fermeture de la centrale de Fessenheim (Alsace), la « plus vieille du pays », il ne s'agit que de poudre aux yeux pour masquer la poursuite du programme nucléaire : mise en service de la nouvelle usine d'enrichissement Georges Besse 2 (Drôme), centre d'enfouissement à Bure (Aube), projet de réacteur au plutonium ASTRID (Gard), installation de conditionnement et d'entreposage de déchets activés (ICEDA) à Saint-Vulbas (Ain). Nous ne pouvons que nous réjouir de l'arrêt de ces deux réacteurs, mais cela est très loin d'être suffisant. Dans la vallée du Rhône, les réacteurs de la centrale du Bugey ne valent pas mieux, de même que ceux de Saint- Alban, Cruas et du Tricastin. Et les réacteurs les moins anciens (Chooz, Civaux), s'ils ont peut-être moins de problèmes, ne sont de toute façon pas à l'abri d'un accident majeur. L'arrêt progressif du nucléaire demandé par les Verts et d'autres lobbies n'a pas pour but d'en finir le plus vite possible avec cette industrie de mort, mais permet à celle-ci de continuer à faire tourner toutes ses usines de fabrication, d'enrichissement, de traitement des déchets (l'usine de la Hague pollue énormément plus que toutes les centrales françaises cumulées...), pour engranger de l'argent. De plus, la sortie progressive laisse le temps aux grands capitalistes de l'atome de se reconvertir afin de sauvegarder leur pouvoir et leurs bénéfices : ainsi AREVA veut devenir le premier constructeur d'éoliennes industrielles et d'usines de cogénération (gigantesques, elles consommeront des forêts entières) ; Bouygues et Vinci iront couler du béton pour d'autres grands travaux liés à la sur-consommation d'électricité tels les TGV, les THT et les centres touristiques. Pour les « anti-nucléaires » pas pressés, il s'agit surtout de ne pas remettre en cause cette société capitaliste et autoritaire. Nous pensons au contraire que l'arrêt définitif du nucléaire ne saurait attendre, et que la critique de cette industrie catastrophique va de pair avec celle du système qui l'a engendré et qu'elle contribue en retour à renforcer. Le problème n'est pas tant de produire un peu moins d'électricité, ou autrement, mais bien de remettre en cause plus radicalement le monde dans lequel nous sommes, pour en finir avec la folie atomique. En effet le nucléaire n'est pas qu'une énergie, c'est un projet de société. Société policière pour mater par la force celles et ceux qui refusent le nucléaire, puis pour surveiller les travailleu(se)rs et les populations, au nom de leur sécurité. Société militaire aussi, car c'est par la bombe que l'atome est entré dans nos vies, et c'est par l'état de guerre qu'il risque de finir. En effet, en cas de catastrophe nucléaire avérée, c'est l'armée qui viendra trier les individu(e)s, mettre au pas les populations et mitrailler les récalcitrant(e)s. Société d'expert(e)s, qui seul(e)s ont droit à la parole, aux débats, et participent aux décisions, au nom de leur savoir et de notre « ignorance ». Nous sommes ainsi dépossédé(e)s de nos conditions d'existence et la réappropriation de nos vies est rendue très difficile. Société néo-coloniale, car l'uranium est exploité par Areva au Niger, dans des conditions sociales inacceptables et avec des dommages écologiques considérables dont sont victimes les populations locales. Société capitaliste enfin, car le Capital a besoin de toujours plus d'énergie pour produire ses engins de mort et ses marchandises inutiles. Pour combattre et arrêter l'industrie nucléaire et le monde qui l'a engendrée, organisons-nous de façon autonome et horizontale. Arrêt immédiat du nucléaire civil et militaire ! Sortie définitive du capitalisme !
Organisation Communiste Libertaire-Lyon, Coordination des Libertaires de l'Ain, Groupe Libertaire de Saône et Loire, Groupe la Vache Noire (FA), des anti-nucléaires de Saône et Loire
"Aujourd’hui, nous saluons l’importance de la contribution que les femmes rurales, y compris les autochtones, apportent au développement. Les femmes rurales sont agricultrices, pêcheuses, éleveuses et chefs d’entreprise; elles sont les garantes des identités ethniques, des savoirs traditionnels et des pratiques durables; elles élèvent les enfants, s’occupent d’autres membres de la famille, prennent en charge ceux qui n’en n’ont plus." Journée internationale de la femme rurale, le 15 octobre 2010
Le terme de paysan est défini, dans le dictionnaire, comme "une personne vivant à la campagne de ses activités agricoles"..., mais parfois ressenti comme péjoratif. Les civilisations agricoles les plus primitives offrent des caractères démographiques voisins de ceux des groupes qui vivent de la cueillette, de la chasse, de la pêche ou du nomadisme pastoral. L’humanité reste très diluée dans toutes les régions où l’on ne connaît que la culture sur brûlis : il faut si longtemps pour régénérer la fertilité de la terre lorsqu’on ne fait rien pour aider la nature que la pulvérisation continue à s’imposer ; l’isolement, la fragmentation demeurent et limitent les risques d’épidémie. La Journée internationale de la femme rurale reconnaît "le rôle et la contribution des femmes rurales, y compris les femmes indigènes, dans la promotion du développement agricole et rural, l'amélioration de la sécurité alimentaire et éradiquer la pauvreté rurale." Les femmes rurales jouent un rôle vital dans les économies rurales des pays développés et en développement. Dans la plupart des pays en développement impliqués dans la production des cultures et des soins du bétail, fournissent de la nourriture, l'eau et de carburant pour leurs familles et participent à des activités non-agricoles pour diversifier les moyens de subsistance de leurs familles. En outre, elles remplissent des fonctions vitales dans les soins aux enfants, personnes âgées et les malades.
Chaque pays a ses propres traditions, sans les traditions, nous n'avons pas d'histoire. Un site à visiter : www.afriqueredaction.com
UWAKI Nord Kivu contribution publiée le 10 octobre 2012 à 12:42
En République Démocratique du Congo, les femmes rurales du Nord Kivu, à l'initiative de UWAKI, ont toujours célébré la journée mondiale de la femme rurale depuis 2005 sous forme des rencontres de plaidoyer sur la promotion des initiatives et de la reconnaissances du rôle de la femme dans le développement socio-économique auprès des autorités politico administratives.
Cette année [ndlr: 2012] plus de 150 000 femmes rurales ont fuit leur village à cause de la guerre ; elles ont abandonné leurs champs, leurs bêtes et vivent au jourd'hui dans les camps de déplacés sans aide humanitaire suffisante. C'est pourquoi cette année l'association UWAKI decide d'organiser une visite de solidarité aux femmes rurales vivant dans les camps de deplacés pour compatir à leurs soufrances.
Un site à visiter : www.yahoo.fr
Suite au verdict du procès des viols dans le Val-de-Marne, trente associations réclament un débat public à François HollandeAlors qu'un collectif d'associations féministes, indigné par le verdict du procès des viols collectifs de Fontenay-sous-Bois, a adressé ce vendredi une lettre ouverte (1) au président François Hollande, le Parquet vient de faire appel de la décision rendue par le Tribunal de Créteil.
Dans sa coursive, le collectif réclame « des politiques publiques à la hauteur du défi : éradiquer les violences faites aux femmes ». Les trente d'associations, parmi lesquelles La Ligue du Droit International des Femmes, Osez le féminisme !, Les Chiennes de garde ou le Collectif Féministe Contre le Viol, exigent que les lois en vigueur soient enfin appliquées. Elles demandent aussi que de nouvelles dispositions législatives soient complétées, comme l'extension de l'ordonnance de protection aux victimes de viol. « Les plaignantes doivent être soutenues, hébergées, protégées, entendues », ajoutent-elles. Selon leurs statistiques, 75 000 femmes sont violées chaque année en France, « 10 % d'entre elles portent plainte et seuls 2 % des agresseurs sont condamnés ».
Un autre mouvement, le Collectif national pour les droits des femmes, pour qui « ce verdict atterrant témoigne de l’incapacité de la justice française à prendre en compte les récits des victimes », appelle de son côté à manifester, lundi 15 octobre devant le ministère de la Justice, à Paris. Le rassemblement est prévu à 18h30 place Vendôme.
Pour rappel, la cour d'assises du Val-de-Marne a condamné hier quatre hommes à des peines allant de trois ans de prison avec sursis à un an de prison ferme, pour des viols collectifs commis entre 1999 et 2001. Dix autres accusés ont été acquittés. Sur les deux plaignantes, une seule, Nina, a été reconnue victime. Pour Emmanuelle Piet, présidente du Collectif Féministe Contre le Viol, « ce verdict délivre un permis de violer »
Journée Mondiale du refus de la misère
Le 17 octobre 1987, à l'appel du Père Joseph Wresinski, 100 000 défenseurs des Droits de l'Homme se sont rassemblés sur le Parvis du Trocadéro, à Paris, pour rendre honneur aux victimes de la faim, de la violence et de l'ignorance, pour dire leur refus de la misère et appeler l'humanité à s'unir pour faire respecter les Droits de l'Homme. Une dalle, proclamant ce message, a été inaugurée à cette occasion sur le Parvis des Libertés et des Droits de l'Homme, là où fut signée, en 1948, la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme. On peut y lire l'appel du père Joseph: "Là où des hommes sont condamnés à vivre dans la misère, les droits de l'homme sont violés. S'unir pour les faire respecter est un devoir sacré." Depuis cette date, le 17 octobre de chaque année, les plus pauvres et tous ceux qui refusent la misère et l'exclusion se rassemblent dans le monde entier afin de témoigner de leur solidarité et de leur engagement pour que la dignité et la liberté de tous soient respectées : ainsi est née la Journée Mondiale du Refus de la Misère.
Manifestation « 17 octobre 1961- 17 octobre 2012
il y a 51 ans des centaines d'Algériens ont été massacrés à Paris par
la police.
RV à 18h au pont Saoint Michel. M° Saint Michel
Journée Internationale pour la Résolution des Conflits
Depuis 2005, le troisième jeudi du mois d’octobre a été choisi pour célébrer la "journée internationale pour la résolution des conflits". Cette initiative est née de l’Association pour la Résolution des Conflits. Parce que chaque conflit mérite d’abord une solution Face à un différend, qu’il soit d'ordre familial, de voisinage, commercial, ou social, la médiation s'impose. Lorsque les oppositions se font au niveau de régions ou de pays, touts les énergies doivent être employées à la résoltution amiable du conflit, à la négociation, sans arriver jamais aux confrontations physiques, ou militaires. La solution durable d'un conflit ne saurait être basée sur l'humilation de l’autre. Celle-ci génère la rancune et le ressentiment, et finit toujours par relancer un nouveau conflit. L'histoire mondiale récente est pleine de ces coups de forces et négociations biaisées qui ont portées en elles nombre de révoltes et de guerres.
PIQUE-NIQUE EN SOLIDARITÉ AVEC LA DÉFENSE DE NOTRE-DAME-DES-LANDES ET EN SOUTIEN AUX EXPULSÉES - SAMEDI 20 OCTOBRE 2012 À L'ASSEMBLÉE NATIONALE > > > > > >
Suite à l'expulsion indigne et brutale en cours à > > Notre-Dame-des-Landes, nous appelons à manifester notre soutien aux > > expulsés de la Zone à Défendre et à continuer de résister au projet > > d'aéroport, > >
Samedi 20 octobre 2012 à 12 h, pour un pique-nique
place > > Édouard-Herriot, Paris 7ème, métro Assemblée nationale. > > > >
Les moyens disproportionnés employés pour déloger les habitants et > > leurs soutiens ne masquent plus les intentions du gouvernement et de > > Vinci.
Il s'agit de soumettre par la répression et la force brute à un > > mécanisme à broyer le vivant, détruire le lien social. D'imposer un > > Grand Projet inutile, véritable gouffre financier. > > > >
Pour rappel, il vise à raser 2 000 hectares de bocage, et donc y détruire la > > biodiversité.
Construire un nouvel aéroport alors qu'un aéroport > > volontairement sous-exploité existe déjà.
Construire un barreau > > routier titanique et laisser place partout autour à d'énormes zones > > commerciales ou industrielles. > > > >
UNE CATASTROPHE ÉCOLOGIQUE ET SOCIALE EST EN COURS. MOBILISONS-NOUS. > > > > Nous appelons à un pique-nique de solidarité avec les habitantEs de > > Notre-Dame-des-Landes, samedi 20 octobre 2012 à 12 h, place > > Édouard-Herriot, Paris 7ème, métro Assemblée nationale. > >
CONTRE L’AUSTERITE : RÉUNION PUBLIQUE LE JEUDI 25 OCTOBRE à 12H30 sur le campus de Bron ! Comme toute la société, l’université est soumise aux politiques d’austérité !
Les réductions de budget, récurrentes depuis de nombreuses années, entrainent une dégradation des conditions de vie et de travail. Ce sont ainsi les étudiant-e-s, les enseignant-e-s et les personnels les plus précaires qui subissent de plein fouet ce système : - Bourses trop faibles et trop peu nombreuses pour les uns, - Contrats de travail jetables et charges de travail insurmontables pour les autres. L'austérité est imposée comme solution à la crise du capitalisme, à la crise de la dette. Présentée comme la seule porte de sortie, elle ne vise qu'à faire pression sur les salaires, les droits sociaux. En un mot à maintenir ou a augmenter les profits des capitalistes, des rentiers, des financiers, en faisant payer les classes populaires. Les promesses d’Hollande pendant la campagne présidentielle ne changent rien à la donne : le gouvernement, au service du patronat, n’a aucune intention de mettre fin aux vagues de licenciements, ni même de dévier la ligne tracée par le gouvernement précédent… Par ailleurs, G. Fioraso, ministre de l’enseignement supérieur, se situe dans la continuité de V. Pécresse, poussant toujours plus à « l’autonomie » des universités et donc au financement privé, à la soumission de l’éducation aux intérêts marchands. Nous devons tirer des enseignements des défaites antérieurs. Mener des luttes pour la défense d’intérêts particuliers, corporatistes est voué à l’échec : Seule la mobilisation massive, convergente et unitaire de l’ensemble des opprimé-e-s du capitalisme sera à même d’imposer un changement effectif de système. Dans d’autres universités, d’autres pays, personnels et étudiant-e-s ont déjà commencé à s’organiser pour combattre les restrictions budgétaires. Pour améliorer nos conditions de travail et d’études à l’université, Seule la lutte paiera ! Construisons un collectif large contre l’austérité rassemblant organisations et individus ! Signataires de l'appel : FSE lyon, NPA, PG, JCML, UEC, SUD étudiant Rendez-vous le 25 octobre à 12h30 en Amphi F (bâtiment L) !
No TAV: grande manifestation Bayonne contre la LGV le 27octobre 2012
cette manifestation lest très importante malgré le discours des médias dominants car rien n'est encore joué pour ces grands travaux. Ici dans la région Rhone Alpes. Ces luttes ne peut pas être…
****Marche des réquisitions Samedi 27 Octobre 2012
Sans logis et DALO, 100 000 logements tout de suite
RV 15h Place du Palais Royal * Pour demander le lancement en urgence d*’un plan de mobilisation/réquisition de 100 000 logements vacants,* les sans logis, les prioritaires DALO et les mal logés, après une marche des réquisitions, se rendront au Ministère du logement. Ils déposeront des demandes de réquisitions, et rappelleront à CécileDuflot
la nécessité de mobiliser ou réquisitionner en urgence,
100 000logements vacants, appartenant à l’état, aux HLM, aux sociétés et aux riches particuliers, afin de loger 300 000 personnes. Les sans logis sont prêts à passer la nuit et plus si nécessaire, pour avoir enfin une réponse sur la mobilisation urgente des logements vacants, car ils n’ont jamais été aussi nombreux dans notre pays, et *le* respect des lois en faveur des sans logis et des mal logés de notre pays, sans cesse bafouées* (Loi DALO, Droit à l’hébergement jusqu’au relogement, Loi de Réquisition …). Des initiatives dans d’autres villes ... Le Professeur Albert JACQUARD, ainsi que Josiane BALASKO participeront à cette initiative, ainsi que des artistes et des musiciens. La plate forme logement des mouvements sociaux qui réuni 25 associations et syndicats soutiendra cette initiative. WOSNIAK met ses dessins sur les sans abris à disposition du DAL et decette mobilisation. *Pour rejoindre la mobilisation : sec@droitaulogement.org 06 46 30 64 37 *
Que faire quand l’état est de plus en plus absent, méprisant et violent par rapport à ce qui arrive réellement aux gens ? POUR EN DISCUTER : RENDEZ-VOUS PUBLIC, LE SAMEDI 27 OCTOBRE 15H, METRO JEANNE D’ARC 1) A Marseille, des gens se sont vantés devant les caméras d’avoir fait fuir une poignée de malheureux de leur campement. Quelle fierté peut-on avoir de faire partir des gens qui sont déjà pourchassés à travers l’Europe à cause de leur origine, quelle fierté avoir quand on met le feu à quelques affaires de gens qui n’ont rien ? On ne parle pas là de morale, de ce qui est bien et de ce qui est mal. On parle là de savoir si on participe à une politique de guerre des uns contre les autres, des "plus forts" contre les plus faibles ou si on participe de tenir et de mettre en oeuvre, dans ce qui se passe, dans le réel tel qu’il est, aussi difficile qu’il soit, des principes pour que chacun ait des droits, chacun soit respecté, car chacun compte. C’est un travail qui permet de se tenir droit dans une période de crise. 2) Ce n’est pas parce que l’état est de plus en plus absent dans ce qui arrive réellement aux gens, dans ce qui touche à leur vie (droits pour tous, santé, école, logement, réponse à la misère, travail...) qu’il faut que ce soit la débandade totale, et qu’il devienne "normal" pour certains de participer d’une persécution. Si à Marseille le problème posé était l’hygiène comme le dénommé Rachid l’a dit sur toutes les chaînes de TV, pourquoi n’ont-ils pas fait le choix de se prononcer et de manifester pour que d’urgence la Mairie et la Préfecture fassent le nécessaire pour apporter cette hygiène (wc chimiques ou autres ?), pourquoi ne pas se prononcer et manifester pour le droit de chacun à avoir un logement et des lieux d’accueil décents ? Ca aussi, c’était possible de le penser et de le réaliser ! et cela aurait permis que des gens soient protégés. C’est sûr qu’aujourd’hui, il est plus facile d’avoir le soutien des flics et de l’état quand on tape sur des pauvres que si on demande les droits pour tous ! 3) Cette absence de l’état sur l’essentiel est pensée, décidée et appliquée par les responsables politiques de tout bord, qu’ils soient à la tête de l’état ou qu’ils veuillent y arriver. Les seuls discours des partis sont toujours du même ordre, vont toujours dans le même sens : faire porter à telle ou telle partie de la population la responsabilité de ce qui leur arrive : si tu es viré, c’est parce que tu ne travailles pas assez bien et vite, et que tu coûtes trop cher ; si tu as des difficultés à l’école, c’est parce que tu es un jeune "difficile" ; si tu n’as pas de logement décent, c’est parce que tu n’as pas d’arrières financiers suffisants ; si tu n’as pas de papiers, c’est parce que tu n’es pas assez méritant ; si on te reproche ta religion, c’est parce que tu n’es pas assez civilisé... A chaque point de la vie des gens, les responsables de l’état ont une réponse toute faite : un reproche, une attaque, une mise en tension, un mépris. Les personnes en difficulté sont présentées comme des « inutiles », à la charge de la société. Cela crée à la longue un état de guerre permanent contre et entre des parties de plus en plus grandes de la population. Et on voit des individus se substituer à l’état, qu’ils estiment trop lent, ou trop mou, pas assez réactif, pour intervenir contre des gens en difficulté, perçus comme des ennemis. C’est ce qui s’est passé à Marseille, où certains ont même menacé d’utiliser les jeunes de la cité comme troupes de choc si les roms ne s’exécutaient pas. Autrement dit, la proposition faite par les habitants de la cité aux jeunes de cette cité est « guerre aux plus pauvres ». Ca va sûrement aider les jeunes à se construire un avenir ! En même temps, cet état de guerre permanent permet à l’état de se dédouaner de ce qu’on pourrait à juste titre attendre de lui, pour tous. 4) Alors que faire quand l’état est de plus en plus absent, de plus en plus loin et de plus en plus désintéressé et méprisant par rapport à ce qui arrive réellement aux gens ? Il est possible de tenir un fil, un chemin, un cap, qui permettent de parler et d’affirmer que les droits doivent être pour tous, que chacun compte, qu’une vie = une vie. Pour cela, c’est aux gens eux-mêmes, à ceux qui le décident, de dire qu’ils sont pour le maintien du droit pour tous, pour le respect de la vie de chacun. Cela se donne immédiatement, dans des points à traiter, sur lesquels commencent à exister des avancées, plus ou moins importantes : Chacun doit pouvoir se loger ; il n’est pas acceptable que des gens soient expulsés et se retrouvent à la rue, alors qu’il y a tant de logements que la Mairie et la Préfecture se pressent et se vantent de détruire ! Qui vit ici est d’ici : il n’est pas acceptable que l’état refuse les droits à ceux qui vivent ici depuis des années, et les maintienne sans papiers Chacun compte, à égalité avec quiconque ! il n’est pas acceptable que des gens dans le pays soient sous statut spécial, chassés et persécutés comme le sont les roms aujourd’hui en France ! Il faut défendre les enfants : ça ne veut pas dire tout leur passer, mais se battre pour qu’ils aient un avenir véritable ; cela passe par les batailles sur l’école, les Rased, etc... cela passe aussi par l’affirmation et la pratique de principes leur permettant de se construire positivement. C’est les gens qui comptent, pas l’état : il faut penser entre nous, à partir de ce qu’il faut pour les gens, et arrêter de penser comme l’état. Sur tous ces points, il y a déjà une pensée/action à l’oeuvre, indépendante. Retrouvons-nous pour en discuter. RENDEZ-VOUS PUBLIC, LE SAMEDI 27 OCTOBRE 15H, METRO JEANNE D’ARC
Rendez-vous le
lundi 29 octobre, à 19h19,
à la sortie du métro Rihour
pour une action de barbouillage
C O M M U N I Q U É D E P R E S S E
du 23 octobre 2012
51è action de désobéissance civile des Déboulonneurs lillois,
contre l'invasion publicitaire des villes et des campagnes
Depuis 2006, grâce à des actions de désobéissance civile, les
déboulonneurs lillois alertent du danger de la publicité dans l'espace
public. Leurs actions ont pris de nombreuses formes : barbouillage à la
bombe de peinture, recouvrement au blanc d'Espagne, bachage, et même
démontage.
A Paris, des déboulonneurs viennent d'être condamnés à des
amendes pour barbouillage d'écrans publicitaires dans le métro. Cette
condamnation n'entame en rien leur détermination à lutter contre la
publicité.
Parce que l'omniprésence de la publicité est un danger immédiat,
parce que l'espace public appartient à tous et non à quelques affcheurs,
des citoyens agissent pour assainir l'espace public, de façon symbolique,
non-violente et assumée.
Rendez-vous le
lundi 29 octobre, à 19h19,
à la sortie du métro Rihour
pour une action de barbouillage
Contactez-nous pour plus d'informations
Collectif des Déboulonneurs de Lille
03 20 91 42 02 (Marion)
06 61 34 52 15 (Sébastien)
deboulonneurs_lille@no-log.org
Jusqu’à gain de cause, c’est-à-dire
l’obtention de la réduction du format de
l’affchage publicitaire à 50 par 70 cm, le
Collectif des déboulonneurs entrera
inlassablement et nationalement en
désobéissance civile pour dénoncer les
ravages de la publicité.
NON-VIOLENCE – LÉGITIME RÉPONSE – DÉSOBEISSANCE CIVILE
Nous contestons vivement le système publicitaire, exigeons un débat public, et avons
des propositions concrètes. Nous revendiquons une taille maximale dáffchage de
50 cm par 70 cm (comme l'affchage associatif et politique), accompagnée dúne
contrainte stricte de densité et la suppression des panneaux énergivores (lumineux,
animés, etc...), ce qui permettrait de marquer un premier coup dárrêt à léxpansion
du système publicitaire. Dans ce sens, toutes les 4èmes semaines du mois,
nationalement, inlassablement, jusqu'à gain de cause, nous dégraderons en public, de
manière assumée et non-violente les panneaux publicitaires par barbouillage
(inscriptions à la peinture).
Le Collectif des déboulonneurs lance une action d’envergure nationale
contre le système publicitaire. Il s’est créé en 2005, en région parisienne et à Rouen.
Il invite les personnes de bonne volonté à en créer un dans leur propre ville, au plus
vite, pour se lancer dans l’action non-violente.
Ce collectif se propose de déboulonner la publicité, c’est-à-dire de la faire tomber de
son piédestal, de détruire son prestige. Non pas de la supprimer, mais de la mettre à
sa place, pour qu’elle soit un outil d’information au service de toutes les activités
humaines. Cette action, contre le système publicitaire et notamment l’affchage, se
répétera chaque 4ème semaine du mois, et est en cours de généralisation au niveau
national.
La tactique ?
La dégradation assumée et non-violente en barbouillant des panneaux publicitaires
en public.
L’objectif ?
Une taille maximale d’affchage de 50 par 70 cm, accompagnée d’une contrainte de
densité et de la suppression des panneaux lumineux et anim
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du 23 octobre 2012
51è action de désobéissance civile des Déboulonneurs lillois,
contre l'invasion publicitaire des villes et des campagnes
Depuis 2006, grâce à des actions de désobéissance civile, les
déboulonneurs lillois alertent du danger de la publicité dans l'espace
public. Leurs actions ont pris de nombreuses formes : barbouillage à la
bombe de peinture, recouvrement au blanc d'Espagne, bachage, et même
démontage.
A Paris, des déboulonneurs viennent d'être condamnés à des
amendes pour barbouillage d'écrans publicitaires dans le métro. Cette
condamnation n'entame en rien leur détermination à lutter contre la
publicité.
Parce que l'omniprésence de la publicité est un danger immédiat,
parce que l'espace public appartient à tous et non à quelques affcheurs,
des citoyens agissent pour assainir l'espace public, de façon symbolique,
non-violente et assumée.
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03 20 91 42 02 (Marion)
06 61 34 52 15 (Sébastien)
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l’obtention de la réduction du format de
l’affchage publicitaire à 50 par 70 cm, le
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inlassablement et nationalement en
désobéissance civile pour dénoncer les
ravages de la publicité.
NON-VIOLENCE – LÉGITIME RÉPONSE – DÉSOBEISSANCE CIVILE
Nous contestons vivement le système publicitaire, exigeons un débat public, et avons
des propositions concrètes. Nous revendiquons une taille maximale dáffchage de
50 cm par 70 cm (comme l'affchage associatif et politique), accompagnée dúne
contrainte stricte de densité et la suppression des panneaux énergivores (lumineux,
animés, etc...), ce qui permettrait de marquer un premier coup dárrêt à léxpansion
du système publicitaire. Dans ce sens, toutes les 4èmes semaines du mois,
nationalement, inlassablement, jusqu'à gain de cause, nous dégraderons en public, de
manière assumée et non-violente les panneaux publicitaires par barbouillage
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Le Collectif des déboulonneurs lance une action d’envergure nationale
contre le système publicitaire. Il s’est créé en 2005, en région parisienne et à Rouen.
Il invite les personnes de bonne volonté à en créer un dans leur propre ville, au plus
vite, pour se lancer dans l’action non-violente.
Ce collectif se propose de déboulonner la publicité, c’est-à-dire de la faire tomber de
son piédestal, de détruire son prestige. Non pas de la supprimer, mais de la mettre à
sa place, pour qu’elle soit un outil d’information au service de toutes les activités
humaines. Cette action, contre le système publicitaire et notamment l’affchage, se
répétera chaque 4ème semaine du mois, et est en cours de généralisation au niveau
national.
La tactique ?
La dégradation assumée et non-violente en barbouillant des panneaux publicitaires
en public.
L’objectif ?
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densité et de la suppression des panneaux lumineux et anim
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A Paris, des déboulonneurs viennent d'être condamnés à des
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non-violente et assumée.
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densité et de la suppression des panneaux lumineux et anim
Lundi 29 Octobre à la maison des associations de la Croix Rousse ; 28, Rue Denfert Rochereau ; 69004 Lyon à partir de 19 :00 heures.
Tournée européenne : la Colombie, société civile pour la paix conférence présentée par Marylén Serna Salinas .
Marylén Serna Salinas, une des plus importantes représentantes du mouvement social et populaire colombien sera à Lyon le 29 Octobre.
Marylén Serna Salinas, femme colombienne d’origine indigène, membre du Congrès des Peuples (El Congreso de los Pueblos) vient débattre de la réalité colombienne et du mouvement social colombien, à la recherche d’une paix participative et porteuse de changements vers une justice sociale. Son témoignage sur les dernières évolutions de perspectives de paix et sur les exigences des populations paysannes et amérindiennes et des organisations sociales sera de grand intérêt pour le publique. L’idée principale est d’évoquer des alternatives de paix face au conflit armé colombien et de présenter des propositions issues de la société civile comme par exemple le sujet sur la position des victimes du conflit armé persistant depuis environ 50 ans, conflit ayant engendré des dizaines de milliers de portés disparus, des centaines de milliers de morts, des millions de déplacés et dont sont comptabilisés aujourd’hui 380 000 réfugiés dans 36 pays dont la France.
Dans le cadre d’une tournée européenne, et invitée par des associations de solidarité internationale intéressées au processus de paix en Colombie, http://www.youtube.com/watch?v=uK7CPXL3cvA http://congresodelospueblos.org/sitio/ Soutien des associations : Association Palenque – Rhône Alpes France Amérique-Latine – FAL 69-Lyon AFAL Réseau Solidarité International Lyon 4éme RESOLIN 4 Contact et renseignement : association-palenque@hotmail.fr
MONDETRON !!!
A N T I F A
Le poète Armand Robin (1912-1961)
définit "l'anarchiste" comme celui qui est "purifié volontairement, par une révolution intérieure, de toute pensée et de tout comportement pouvant d'une façon quelconque impliquer domination sur d'autres consciences
Celui qui défile joyeusement au pas cadencé a déjà gagné mon mépris. C'est par erreur
qu'on lui a donné un cerveau puisqu'une moelle épiniére lui suffirait amplement.
Einstein.
°