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Radars! |
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03.10.2012
Le radar du futur verbalise à Persan
Capable de reconnaître un poids lourd, de mesurer une vitesse moyenne ou de peser les véhicules, le nouvel outil mis en place en avant-première à Persan est redoutable.
PERSAN, mercredi dernier. Equipé de caméras ultra-précises et de logiciels high-tech, c’est un véritable bijou de technologie.
Avec ses deux mâts munis de petits boîtiers gris, il ne paie pas de mine. Et pourtant, équipé de caméras ultra-précises et de logiciels high-tech, c’est un véritable bijou de technologie. Le radar du futur, installé rue Elie-et-Corentin-Quideau à Persan et testé depuis février, entre en service cette semaine. C’est cet axe emprunté chaque jour par 11000 véhicules en moyenne qui a été choisi pour lancer le nouveau dispositif au niveau national.
Il a été développé par la société Survision, connue pour avoir mis au point le système de contrôle des distances de sécurité sous le tunnel du Mont-Blanc.
Les camions surveillés
Chauffeurs de poids lourds, soyez vigilants! Cette semaine, le radar commence à verbaliser les contrevenants qui empruntent cet axe interdit aux véhicules de plus de 3,5 t. Les camions en infraction, filmés et photographiés, s’affichent directement sur les écrans de la police municipale. Les amendes pourraient bien pleuvoir. « En enlevant les bus du réseau ainsi que les camions-poubelles, seuls autorisés à circuler, on a en moyenne une trentaine de véhicules en infraction par jour », révèle Hervé Coudrel, chef de la police municipale de Persan.
Et ce n’est pas toujours de la mauvaise volonté de la part des routiers. « Aujourd’hui, les chauffeurs de poids lourds suivent uniquement les indications du GPS. Or, celles-ci font emprunter cet axe alors qu’il leur est interdit depuis plusieurs années. Dans huit infractions sur dix, le problème vient de là. »
Les excès de vitesse bientôt relevés
Cette fonction est encore en phase de test, mais sa mise en service est prévue avant la fin de l’année. Sur cet axe, où la vitesse est limitée à 50 km/h, un premier contrôle est opéré au début de la rue et un deuxième à l’autre mât, 600 m plus loin. Mais, même inactif, le radar tronçon semble déjà faire son petit effet. « Avant, les gens roulaient rarement en dessous de 70 km/h, souligne le chef de la police municipale. Mais la simple vision des portiques fait que les gens roulent moins vite. Aujourd’hui, il n’y a plus d’excès de vitesse important. »
Les voitures volées repérées
C’est le vrai plus de cette installation qui sera effectif courant 2013. Le radar est équipé de caméras reliées à un serveur installé au ministère de l’Intérieur. Baptisé Lapi (lecture automatisée des plaques d’immatriculation), ce système permet de repérer en un instant les véhicules inscrits au fichier national des voitures volées. Dernière innovation : la pesée dynamique pour lutter contre les fausses plaques d’immatriculation. Des capteurs pèsent les véhicules et transmettent l’information au fichier national des immatriculations. « Si on voit qu’une voiture indiquée comme étant une Renault Twingo pèse en fait 2,7 t, on se dira qu’il y a un problème », explique Hervé Coudrel.
07.09.2012
Testé dans un mois sur l’embranchement A 4 - N104, ce nouveau radar détecte la collision entre un véhicule et le séparateur de voies et envoie le signal aux secours.
Autoroute A 4, août.Ce radar est connecté à l’atténuateur de choc (en vert et blanc). Il permet d’identifier l’automobiliste qui le percute.
Les habitués de l’A 4 s’interrogent. Depuis le début de l’année, un nouveau radar a fait son apparition à Noisiel dans le sens Paris-province, à l’entrée de la bretelle d’accès à la N104, vers le sud. Baptisé InfraCall, cet engin taillé comme un périscope, unique en France, entrera en phase de test dans un mois.
Il est capable d’alerter les secours en cas de collision entre un véhicule et le séparateur de voies matérialisé par un gros bouclier vert et blanc. « Si l’atténuateur de choc (NDLR : le système placé dans le séparateur de voies pour amortir une collision en cas d’accident) est percuté, un capteur prévient le radar qui prend immédiatement une photo haute définition de la scène »
Mais ce radar a un second objectif. A l’heure actuelle, les atténuateurs de choc sont tellement efficaces qu’un automobiliste peut repartir après une collision s’il ne roulait pas trop vite.
Le cas échéant, c’est la société autoroutière propriétaire des structures qui paie les dégâts. « La France compte environ 1500 atténuateurs de chocs et 5% d’entre eux sont changés chaque année après un accident, estime Gérard Godon, directeur technique chez Aximum, société spécialisée dans la sécurisation de voies. En Ile-de-France, ce chiffre grimpe à 20% car il y a plus de trafic.
Grâce à ce système, le véhicule qui détruit l’atténuateur de choc est identifié et son propriétaire sommé de rembourser les réparations ou le remplacement de la structure », assume Gérard Godon. Pour un coût qui dépasserait largement un PV pour excès de vitesse : le remplacement d’un bouclier s’élève à 20000 €! Le test effectif a été retardé à cause d’un accident.
« On l’a installé au début de l’année mais avant même qu’il ne soit en fonctionnement, il a été détruit par un véhicule non identifié, avoue Francis Turpin. On n’a plus qu’à le réinstaller pour le tester dans un mois. »
Mettez vite votre avertisseur de radars aux normes
Un décret publié aujourd’hui interdit l’usage de ces appareils très courants. Une mesure qui s’ajoute à la forte augmentation des amendes pour plusieurs infractions routières.
04.01.2012
Pour ne pas être hors la loi, les avertisseurs de radars ainsi que les GPS qui ont cette fonction doivent être mis à jour sur Internet.
La fête est finie pour les amateurs de discussions téléphoniques au volant et d’avertisseurs de radars. Dans un décret publié aujourd’hui au « Journal officiel » et présenté ce matin en Conseil des ministres par le ministre de l’Intérieur, une nouvelle série de mesures va faire dès demain très mal au portefeuille et au permis à points.
Téléphoner au volant, franchir une ligne blanche, circuler sur la bande d’arrêt d’urgence d’une autoroute ou encore visionner la télévision ou un DVD tout en conduisant sont des fautes désormais beaucoup plus sévèrement punies.
Le texte entérine une autre décision majeure, prise également lors du comité interministériel de la sécurité routière du 11 mai 2011, qui concerne potentiellement 1 conducteur sur 2. Il en coûtera une très lourde sanction de 1500 € d’amende assortie du retrait de 6 points de permis à ceux qui utilisent un avertisseur de radars.
Pour y échapper, il faut impérativement mettre à jour, quand cela est possible, son appareil. Voici, en détail et selon le matériel, à quoi il faut s’attendre.
Les homologués
Les 6 millions de possesseurs d’un avertisseur de radars de marque Navirad, Avertinoo, Coyote, Eco & Logic, Inforad, Road Pilot, Takara, Telmap ou encore Wikango peuvent respirer. Les fabricants de ces marques, réunis en association, ont signé un protocole avec les pouvoirs publics pour transformer les appareils en outils d’aide à la conduite. La mise à jour — automatique et à distance pour les Coyote, par Internet via un PC pour les autres — entamée en fin d’année dernière permet d’alerter les conducteurs de l’approche de zones de danger et plus des emplacements exacts des radars. Estampillés NF, ces appareils sont homologués et échappent à toute sanction.
Les retardataires
Les Tom Tom, Garmin et consorts, qu’entre 12 à 15 millions d’automobilistes ventousent sur leur pare-brise pour se laisser guider mais qui alertent également de la présence de radars, ont un sérieux retard à l’allumage dans leur mise en conformité avec la loi. Théoriquement, donc, dès demain matin, tout utilisateur pris en conduisant avec un appareil non mis à jour risque l’amende. Les fabricants, parmi lesquels Garmin, mettent les bouchées doubles pour que les utilisateurs puissent réaliser une mise à jour en branchant leur GPS sur un PC connecté à Internet. Le plus simple, en attendant, consiste à désactiver la fonction alerte radars sur son appareil. Le cas des GPS intégrés, ceux incrustés dans le tableau de bord de certaines voitures, est plus compliqué. Les constructeurs doivent fournir un CD ou un DVD de cartographie mis à jour en remplacement de l’actuel. Une procédure longue et qui oblige parfois un passage à l’atelier.
Les hors-la-loi
De plus en plus utilisés, les logiciels d’alerte radars sont clairement dans la ligne de mire des pouvoirs publics. Problème : ils sont également quasiment indécelables lors d’un contrôle. Les plus « malins » des automobilistes risquent donc de télécharger les applications disponibles aujourd’hui encore pour continuer à détecter les emplacements des cabines flasheuses. Parmi la vingtaine d’applications disponibles hier sur l’Apple Store, la boutique de téléchargement pour iPhone, quelques-unes n’hésitaient d’ailleurs pas à se présenter comme des antiradars. La situation risque bien d’évoluer dans les jours ou les semaines qui viennent, car Apple devra, à la demande des autorités, faire le ménage pour se conformer à la loi.
Suppression des radars fixes sur le site ministériel
11 mai 2011
La carte des radars fixes a été supprimée du site de la sécurité routière du ministère de l'Intérieur.
Cela s'apparente à un piratage mais il n'en est rien. La carte des radars fixes a disparu du site officiel de la Sécurité Routière. Confronté aux mauvais chiffres de la sécurité routière en France, le gouvernement vient en effet de prendre plusieurs mesures.
On peut ainsi lire : " suite aux décisions du Comité interministériel de la sécurité routière ( CISR ) du 11 mai 2011, il a été décidé de supprimer l'information sur la présence des radars fixes. La carte n'est donc plus consultable en ligne. "
Effet de bord prévisible sur les autoroutes de l'information, certains sites sont en surcharge. C'est par exemple le cas de Radar-Auto.com, l'un des sites les mieux référencés par les moteurs de recherche qui affiche " site surchargé " :
" Les annonces d'interdiction des avertisseurs radars et de suppression des panneaux avertissant de la présence de radars fixes entraînent une très forte augmentation du nombre de visiteurs sur le site rendant impossible son affichage classique. "
On pourra lire les décisions du comité interministériel de la sécurité routière sur le portail du gouvernement. Et par exemple : " les panneaux indiquant la présence de radars fixes seront supprimés et les cartes d'implantation des radars ne seront plus rendues publiques. L'information sur le positionnement des radars fixes incite en effet certains conducteurs à ne respecter la réglementation des vitesses qu'à leur proximité. "
Comme souligné plus haut, les avertisseurs de radars seront par ailleurs interdits.
Haute-Loire - Faits divers. Yssingelais: un radar automatique mis hors d'état de flasher
Le radar automatique a été barbouillé de peinture orange
Le radar automatique a été barbouillé de peinture orange
Avertisseurs de radars: Coyote, Inforad et Wikango furieux
12 mai 2011
Face au choix du gouvernement de ne plus communiquer l'emplacement des radars fixes et d'interdire les avertisseurs de radars, plusieurs fournisseurs de services partent en croisade contre une "décision injuste".
Coyote, Inforad et Wikango sont trois fournisseurs de services avertissant de la présence de radars fixes ( parfois aussi mobiles par des systèmes d'alertes entre abonnés au service ) sous forme de boîtiers indépendants ou d'applications mobiles.
Ces dispositifs, qui ne font qu'avertir de l'approche de coordonnées GPS spécifiques, sont tout à fait légaux, à l'inverse de systèmes actifs qui ont pour leur part toujours été prohibés. Du moins, ils étaient légaux jusqu'à la proposition du gouvernement de les interdire, parmi d'autres mesures prises à la suite de l'augmentation du nombre de tués sur les routes ces derniers mois.
Cela passera aussi par la fin de la mise à disposition de la base de données recensant la position des radars fixes, largement utilisées dans les systèmes de navigation GPS autonomes, et qui constituent un argument de vente pour ces produits.
Les trois fournisseurs de service ont aussitôt décidé de s'associer pour protester contre ces mesures et appeler les consommateurs à manifester leur désapprobation. Dans un communiqué de presse commun, ils pointent notamment le préjudice pour leurs 4,7 millions d'utilisateurs des avertisseurs de radars : " il s'agit de dénoncer une décision injuste, injustifiée et aveugle. Les 4 millions 700 000 utilisateurs d'avertisseurs de radars ne sont pas des délinquants. "
Ils mettent au contraire l'accent sur le fait que leurs systèmes contribuent à rendre les routes plus sûres et appellent leurs utilisateurs à une mobilisation pour le mercredi 18 mai à 13 heures dans plusieurs grandes villes ( Lille, Bordeaux, Lyon, Marseille et Paris ).
Le gouvernement envisage de déployer de nouveaux radars
24.01.10
SECURITE ROUTIERE - Ils peuvent calculer la vitesse moyenne des véhicules entre deux points...
Après les radars fixes, les radars "tronçon"? Le gouvernement envisage de déployer ces nouveaux radars, capables de calculer la vitesse moyenne de circulation des véhicules entre deux points,
«Un dispositif a été mis au point avec le Centre d'études techniques de l'équipement (CETE) Méditerranée. Un marché devrait être lancé au deuxième semestre 2010 pour le déploiement de ce type d'équipement
Orléans
Le ministère ne précise pas où et quand ces radars seront installés sur les routes, ni s'ils auront une vocation pédagogique ou répressive. Des radars "tronçon" sont déjà utilisés au Royaume-Uni, en Allemagne, en Italie et en Norvège.
En France, un radar expérimental à vocation pédagogique a été installé en 2003 sur l'A10 au nord d'Orléans. Il est composé de trois caméras installées sur deux ponts distants de 12 kilomètres. Il détecte les véhicules et indique sur un panneau lumineux aux automobilistes concernés qu'ils roulent à une vitesse excessive. |
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MONDETRON !!! |
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A N T I F A |
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Le poète Armand Robin (1912-1961) |
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