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PEROU

 

La forêt du Pérou en état d'urgence

 27/03/2013

C’est l’état d’urgence dans la forêt péruvienne: les exploitations de pétrole ont laissé des traces de baryum, de plomb et de chrome, entre autres, sous les racines des arbres. La forêt est en si piteux état que le Pérou l’a officiellement déclarée en état d’urgence

Pluspetrol va devoir payer

Une loi parue ce lundi fixe désormais des seuils pour plusieurs contaminants des sols, auxquels les  exploitants des sites pétroliers péruviens vont devoir se conformer dans les 90 prochains jours. Pluspetrol, le principal opérateur de la région, va donc devoir réparer les dégâts causés à la nature et aux populations locales, qui risquent la contamination par les eaux notamment.

«Nous savons que cette entreprise a eu de mauvais comportements environnementaux dans le passé car il n’y avait pas de réglementation, explique le ministre de l’Environnement péruvien, mais c’est aussi le cas actuellement car elle n’agit pas de manière responsable et ne donne pas d’informations correctes sur ce qui se passe dans la zone». Le gouvernement a déjà entamé une action en justice contre Pluspetrol en mars 2012 pour une contamination de l’environnement dans un des plus gros puits de pétrole du pays et devrait multiplier les mesures de pollution dans la forêt. Ce qui ne l’empêchera pas d’accorder entre 29 nouvelles concessions de gaz et de pétrole cette année.

13/11/2009
Pérou : la répression du mouvement indien d’Amazonie soulève la réprobation internationale

La tentative sans précédent du gouvernement péruvien de dissoudre le mouvement indien d’Amazonie a été condamnée par des leaders indigènes du monde entier.

La réprobation mondiale fait suite à l’annonce officielle de dissolution de l’AIDESEP, l’organisation nationale des Indiens d’Amazonie péruvienne.

« Nous, les Bushmen du Botswana, soutenons les Indiens du Pérou et estimons que le gouvernement péruvien et les compagnies d’exploitation pétrolière ne devraient pas négliger les peuples indigènes. Si vous détruisez leur terre, vous détruisez les Indiens eux-mêmes », a déclaré Jumanda Gakelebone de l’organisation bushman First People of the Kalahari.

Armand MacKenzie, du Conseil innu de Nitassinan au Canada, a pour sa part annoncé : « Le gouvernement péruvien devrait rencontrer l’AIDESEP, en tant qu’organisme représentatif des Indiens d’Amazonie, et s’adresser avec respect à ses dirigeants, plutôt que de les poursuivre en justice. »

« C’est scandaleux. Je condamne la tentative du gouvernement péruvien d’anéantir la voix des peuples d’Amazonie péruvienne », a dénoncé Lal Amlai, porte-parole jumma du Bangladesh.

« Si vous vous en prenez à l’AIDESEP, vous visez tous les peuples indigènes – et pas seulement ceux d’Amazonie ou du Pérou », a déclaré un porte-parole de la CAOI, organisation regroupant les communautés indigènes d’Argentine, de Bolivie, du Chili, de Colombie, d’Equateur et du Pérou. La CAOI a qualifié la tentative de dissolution de l’AIDESEP « d’absurdité » et de preuve supplémentaire de la politique « raciste » du gouvernement.

L’AIDESEP s’était fermement opposée aux tentatives du gouvernement d’ouvrir l’Amazonie péruvienne aux compagnies d’exploitation pétrolière, gazière et minière. La proposition de dissolution de l’organisation avait été annoncée par le ministre de la Justice trois jours après l’assaut des forces armées d’une manifestation pacifique indigène à Bagua, au nord du Pérou qui faisait partie d’une vague de protestations dans toute l’Amazonie coordonnée par l’AIDESEP. L’attaque a fait plus de trente morts parmi les civils et les policiers ainsi que deux-cents blessés.

L’AIDESEP, qui a été créée en 1980, représente 350 000 Indiens d’Amazonie péruvienne.

Stephen Corry, directeur de Survival International, a déclaré aujourd’hui : « Ce qui vient à l’esprit de la plupart des gens lorsqu’on évoque le Pérou est le Machu Pichu, l’un des plus hauts lieux touristiques d’Amérique du Sud. Le Pérou risque maintenant d’être plus connu pour l’attitude répressive de son gouvernement envers le mouvement indigène du pays. »

Source : Survival France

     

Agence Pulsar, 05 octobre 2009

Un groupe de personnes armées et masquées a fait irruption dans l'assemblée où était en discussion le conflit pour les terres comportant des gisements miniers à Puno, sud-est andin du Pérou, et a assassiné 10 paysans et fait plusieurs blessés.
Les territoires en dispute sont ceux des mines de Winchumayo, localisés dans le district puneño d'Ituata, et la mine de Valencia dans le district d'Ayapata, les deux dans la province de Carabaya.
Environ 300 paysans réalisaient une assemblée pour débattre sur la possession et la démarcation de ces terres quand ils ont été attaqués à coups de feu.
Le ministre de l'intérieur du Pérou, Octavio Salazar, a seulement reconnu des blessés malgré le fait que les paysans ont dénoncé l'attaque et même ont donné les noms des personnes assassinées.
En dialogue avec la Coordination Nationale de Radios (CNR) du Pérou, le maire de Carabaya (Puno), Nancy Rossel, a qualifié d' "irresponsables" les déclarations du ministre.
"C'est incroyable que le ministre écarte la possibilité de morts étant donné qu'il n'y a pas de communication directe avec ce secteur", a soutenu Rossel.

6 août 2009

 Massacre au Pérou

 Le massacre de Bagua (Amazonie du Pérou) qui a ému la communauté internationale le 5 juin passé, a représenté un des points les plus forts de la systématique politique de discrimination et criminalisation des peuples indigènes que met en place l’Etat péruvien avec l’objectif de faciliter les opérations des entreprises multinationales extractives (minière, pétrolière, de gaz, forestière).

 

Durant la conférence de presse d’aujourd’hui, Miguel Palacín Quispe, Coordinateur Général de la Coordination Andine d’Organisations Indigènes (CAOI), a expliqué qu’au Pérou les droits des peuples indigènes, déjà assez relégués pendant des siècles, s’étaient encore plus réduits à partir des années 90, quand la dictature d’Alberto Fujimori modifia la Constitution et les lois afin d’imposer le néolibéralisme dans le paysandin.

 

Depuis 1991, l’amplification des activités minières ont été favorisées dans toute la région andine du pays, affectant les communautés paysannes et ceci sans établir aucun mécanisme de consultation avec elles, bien que depuis l’année 1994 soit entré en vigueur la Convention 169 du BIT (Bureau International du Travail) au Pérou. Les entreprises minières au Pérou disposent de 23 millions d’hectares sur la côte, en montagne et en forêt, mettant en péril les terres de 3200 communautés paysannes et natives. D’une manière similaire, depuis l’année 2004, les projets liés aux hydrocarbures ont augmenté dans la forêt péruvienne (on est passé de 13% de la surface de l’Amazonie parcellisée à 75% en seulement 5 ans) ; ceci sans incorporer aucun mécanisme de consultation de la population indigène affectée.

.

Le retour à la « démocratie » à la fin de l’année 2000 n’a marqué aucun changement dans ces politiques d’Etat. En particulier, depuis l’arrivée au gouvernement pour la seconde fois d’Alan Garcia Pérez , les atteintes aux droits indigènes se sont approfondies, et s’est jointe à celles-ci la criminalisation de la protestation sociale.

 

En juillet 2007, le gouvernement péruvien a émis onze décrets législatifs (normes au rang de loi émises par l’Exécutif avec autorisation du Congrès de la République) qui durcissent les peines imputées à la protestation sociale. Parmi les effets les plus graves, il y a l’établissement de l’enfermement de 25 à 30 ans pour des mobilisations, l’interdiction aux autorités locales de soutenir les manifestations de leurs villages, et l’impunité pour les agents de police et les militaires qui tirent des coups de feu et provoquent des morts afin de réprimer ces manifestations.

 

Le 19 décembre de la même année, le Congrès de la République a attribué des facultés au Pouvoir Exécutif pour légiférer sur divers thèmes liés à l’implantation du Traité de Libre Commerce avec les Etats-Unis. A cette fin, l’Exécutif a émis entre janvier et juin 2008 un ensemble de 102 décrets législatifs.

 

Les objectifs, derrière ces décrets législatifs, sont de faire disparaître les communautés indigènes et octroyer de meilleures facilités aux entreprises qui exploitent les ressources minières, pétrolières et forestières. Il est considéré que les droits des communautés sont un obstacle pour ces entreprises.

 

Le président lui-même Alan García, l’a dit dans ses articles intitulés El Síndrome del Perro del Hortelano(1), publiés entre octobre et novembre 2007 dans le quotidien El Comercio, dans lesquels il affirme que les communautés indigènes sont une invention, qu’elles ont des terres

inoccupées et qu’elles ne produisent pas, et va jusqu’à remettre en question l’existence même des peuples indigènes, en situation d’isolement volontaire, de l’Amazonie péruvienne.

 

Une mobilisation de plus de dix jours des peuples indigènes d’Amazonie (en août 2008) réussit la dérogation de deux de ces décrets législatifs (1015 et 1073). La mobilisation a été reprise en avril 2009, et à travers le Massacre de Bagua du 5 juin, ont été dérogés les décrets législatifs 1064 et 1090. « Les organisations indigènes et paysannes, nous continuons la

lutte pour la dérogation de celles restantes », a souligné Palacín.

 

Mais la répression ne commence ni se termine avec le massacre de Bagua. Au Pérou il y a actuellement plus de mille dirigeants indigènes qui subissent des procédures juridiques pour défendre les droits de leurs communautés. Après les évènements du 5 juin, il a été émis un ordre d’arrestationcontre toute la direction de la Asociación Interétnica de Desarrollo de la Selva Peruana (AIDESEP)(2), et trois de ses membres ont dû s’exiler au Nicaragua, parmi eux son président Alberto Pizango.

 

La journée nationale de lutte du 11 juin, la Grève Nationale des 7,8 et 9 juillet, et la solidarité internationale ont exigé que la sortie du cabinet ministériel de Yehude Simon signifie un changement réel de la politique économique et sociale. Mais il s’est passé tout le contraire, avec une composition ministérielle en provenance exclusive du parti présidentiel (APRA) d’extrême droite, dans une attitude ouvertement provocatrice du régime de García. Le nouveau président du Conseil des Ministres, Javier Velásquez Quesquén, a dit que son premier devoir était d’ « imposer l’ordre », ce qui laisse présager une recrudescence de la répression.

 

A la fermeture et la persécution de stations émettrices locales et de leurs directeurs, s’ajoute l’intensification de la persécution policière et judiciaire envers les leaders indigènes d’Amazonie et Andins. Des preuves de disparitions lors du massacre de Bagua du vendredi 5 juin sont en train d’apparaître, tant de fois niées par le gouvernement, consignées dans un rapport de la Defensoría del Pueblo(3) qui, comme cette institution l’a reconnue, n’a pu récolter de témoignages et de preuves que dans le cinquième des communautés natives, et l’a fait dans les jours suivants le massacre. Pire encore, si l’on considère que la police a empêché le passage dans la zone durant cinq jours, dans laquelle elle aurait incinéré les restes des indigènes assassinés.

 

Dans une attitude raciste réitérée qui nie aux indigènes la faculté de prendre des décisions de manière autonome et collective (comme ils le font depuis des centaines d’années), le gouvernement insiste à attribuer la mobilisation des peuples indigènes à des interventions étrangères, sans présenter aucune preuve de ceci. Les fonctionnaires du gouvernement ont même affirmé que la violence dans la Curva del Diablo(4) avait été initiée par les indigènes, mais le procureur qui a enquêté sur l’affaire a déjà déterminé officiellement que les indigènes étaient désarmés.

 

Particulièrement cruelle est l’attitude du gouvernement contre l’apu Santiago Manuin, qui a reçu huit impacts de balles le 5 juin, alors qu’il s’approchait de la police avec les bras en l’air, pendant que celle-ci initiait son assaut contre les indigènes. L’apu, boursier des Nations Unies, a le colon séparé du corps et son état de santé est très délicat. Le 14 juillet, neuf policiers se sont rendus jusqu’à l’Hôpital Las Mercedes de Chiclayo pour essayer de l’amener à la prison de Picsi. Heureusement les médecins les en ont empêché, mais le mandat d’arrêt contre lui reste en vigueur.

 

A tout ce qui précède, s’ajoute les manœuvres du gouvernement d’Alan García, qui, dans l’intention de désarticuler les organisations indigènes qui avancent pour la défense de leurs droits, cherche à diviser la Asociación Interétnica de Desarrollo de la Selva Peruana (AIDESEP) ; dans ce but, il a mis en place un congrès illégal lors duquel a été élu une fausse directive. Le gouvernement García a commencé à reconnaître cette directive, choisie contre tout ce qui est stipulé dans les Statuts de l’AIDESEP, afin qu’elle participe à la Table de Dialogue installée avec les peuples indigènes d’Amazonie.

 

« Il s’agit d’une manœuvre de plus pour désarticuler nos organisations, en créant des organisations parallèles qui ne comptent pas avec l’appui de nos peuples indigènes, dans le seul but qu’ils approuvent leurs politiques de pillage de nos biens naturels et la déprédation de la Madre Naturaleza(5), en passant au-dessus de nos droits territoriaux », a averti Miguel Palacín Quispe, Coordinateur Général de la CAOI.

 

(1) le Syndrome du Chien du Maraicher

(2) l’Association Interethnique de Développement de la Forêt Péruvienne

(3) la Défense du Peuple

(4) le Virage du Diable

(5) la Mère Nature

 

COORDINATION ANDINE D’ORGANISATIONS INDIGENES-CAOI

Bolivie, Equateur, Pérou, Colombie, Chili, Argentine

 


MONDETRON !!!  
  Just Foreign Policy - Morts irakiens dus a l'invasion U.S.  
A N T I F A  
 
 
Le poète Armand Robin (1912-1961)  
  définit "l'anarchiste" comme celui qui est "purifié volontairement, par une révolution intérieure, de toute pensée et de tout comportement pouvant d'une façon quelconque impliquer domination sur d'autres consciences Celui qui défile joyeusement au pas cadencé a déjà gagné mon mépris. C'est par erreur qu'on lui a donné un cerveau puisqu'une moelle épiniére lui suffirait amplement. Einstein. °